Québec, le 6 février 2023 – Pour une deuxième année consécutive, l’Association minière du Québec (AMQ, Association) invite les Québécois à découvrir l’industrie minière à travers une série de réflexions portant sur des enjeux actuels tels que la transition énergétique, l’accès à la science, l’exploration ou l’automatisation. C’est dans la mine la plus profonde des Amériques, à plus de 3 km sous terre, que l’AMQ a donné rendez-vous à des personnalités québécoises, mais également à deux employés du Complexe minier LaRonde, Mines Agnico Eagle Ltée.

portraits de Farah Alibay et de Pierre-Yves Lord deRéflexions en profondeur

De mars à la plongée sous-marine, l’exploration est partout

Cette série de nouvelles capsules met de l’avant deux personnalités bien connues du Québec : Farah Alibay, ingénieure à la NASA en aérospatiale et pilote de l’astromobile Perseverance qui a atterri sur Mars en février 2021 et Pierre-Yves Lord, animateur chevronné, curieux et charismatique, au sens de l’humour aiguisé et également explorateur des fonds marins. Tous deux ont accepté de descendre sous terre pour livrer leurs réflexions sur différents thèmes qui leurs tiennent à cœur et qui sont fondamentalement liés aux défis présents et futurs de l’industrie minière.

Découvrez le monde minier

C’est bien connu, les minéraux et métaux sont omniprésents dans nos habitudes de vie de tous les jours. Cette campagne publicitaire invite la population à découvrir ou redécouvrir l’industrie minière, à comprendre sa nécessité et offrir un aperçu des efforts déployés par les sociétés minières pour réduire leurs impacts environnementaux. Grâce à des publicités de 15 secondes, l’Association souhaite piquer la curiosité de la population québécoise à se rendre sur le site Web de la campagne (www.reflexionsenprofondeur.com) et à visualiser les entrevues.

« La première édition des Réflexions en profondeur nous a confortés dans l’idée de présenter l’industrie minière différemment auprès du grand public. Il est important pour nous d’informer les Québécois sur les bonnes pratiques mises en place dans les installations minières. Par cette campagne, nous souhaitons amener chacun et chacune à prendre du recul sur l’industrie et à mener leurs propres réflexions.

L’industrie minière au Québec est l’une des plus innovantes et responsables au monde, il y a de quoi en être fier ! »

Josée Méthot, Présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.


Liste de crédits associés au projet

Client
Association minière du Québec
Martin Bureau – Jade Stefanini


Production : Lazuli marketing
Service-conseil : Marie-Hélène Dubeau
Productrice : Ariane D. Rondeau
Réalisateur : Olivier Languedoc

DOP 1. : Mathieu Élie

DOP 2. : Michel Valiquette
Assistant caméra : Joël Tremblay
Assistant de production/caméra : François Haché
Preneur de son : Stéphane Carreau
Vidéaste Making of : Cédric Conti
Monteur Offline : Jean-Sébastien Hamel
Post production : Outpost
Mix sonore : La Majeure
Recherchiste : Fadwa Lapierre
Productrice web : Marie-Eve Bolduc
Programmation web : Christian Thibault

Stratégie média : Marie-Hélène Dubeau – Lazuli Marketing / Lucie Gauvin

Médias sociaux : Kim Cayer-Roy

Idée originale : Guillaume Blanchet et Simon Beaudry – Insubordination

Québec, le 21 décembre 2022 – Le contexte socioéconomique qui a prévalu au cours de l’année 2022 aura certainement influencé tous les secteurs économiques, et ce, à l’échelle planétaire. La guerre en Ukraine aura causé une certaine volatilité dans les marchés créant des fluctuations jamais vues sur les prix des matières premières, notamment les métaux et minéraux. À cela s’ajoute un contexte inflationniste qui a impacté les coûts de la main-d’œuvre, de l’énergie et de l’équipement des sociétés minières.

Malgré ces soubresauts socioéconomiques, l’Association minière du Québec (AMQ, Association) dresse un bilan positif de cette dernière année, et ce, à plusieurs niveaux.

Des avancées pour la décarbonation

Les enjeux environnementaux sont au cœur des opérations des entreprises qui font l’extraction des minéraux essentiels à la fabrication d’une multitude d’objets qui nous entoure et qui joueront un rôle primordial dans la transition énergétique mondiale. La volonté de réduire son empreinte environnementale est bien présente au sein de l’industrie minière, dont la réduction des gaz à effet de serre. Plusieurs investissements majeurs et projets innovants ont été réalisés en 2022. Citons la collaboration annoncée en octobre dernier entre le gouvernement du Canada et Rio Tinto Fer et Titane pour décarboner les opérations des installations de Sorel-Tracy avec un investissement de 737 millions de dollars pour les huit prochaines années.

En termes d’innovation, plusieurs initiatives ont vu le jour dans l’industrie, notamment chez ArcelorMittal Exploitation minière Canada, qui s’est fixé comme objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 25 % d’ici 2030 et d’atteindre la carboneutralité d’ici 2050. Pour se faire, l’entreprise a débuté le remplacement du mazout utilisé de leurs installations par de l’huile pyrolytique renouvelable produit à partir de sous-produits du bois. Cette initiative leur a d’ailleurs permis de remporter, conjointement avec Bioénergie AE Côte-Nord Canada, le prix Eurêka! d’un Québec vert et prospère, d’Écotech Québec, dans la catégorie Ressources naturelles.

D’autres entreprises se tournent vers l’électrification comme Mines Agnico Eagle Ltée, en Abitibi-Témiscamingue, qui teste des chargeuses-navettes entièrement électriques. Nous pourrions citer d’autres exemples concrets qui démontrent le caractère créatif et visionnaire de l’industrie minière québécoise où l’innovation se met au service de la protection de l’environnement.

Les minéraux critiques au cœur de la transition énergétique

Les minéraux critiques et stratégiques ont occupé une part importante de l’actualité de cette dernière année.
Chose certaine, les gouvernements ont démontré leur volonté pour développer ce créneau en mettant en place des orientations et des mesures favorables afin de se tailler une place de choix sur l’échiquier mondial en tant que pays producteur de minéraux critiques. Précurseur, le gouvernement du Québec avait adopté en 2020 son Plan de valorisation des minéraux critiques et stratégiques. En 2022, c’est au tour du gouvernement fédéral de dévoiler sa Stratégie canadienne sur les minéraux critiques. Il est clair que le secteur minier jouera un rôle de premier plan dans la transition énergétique et le déploiement de la filière de la batterie au Québec, tout en étant une source d’enrichissement pour le Canada et le Québec.

Des signaux économiques encourageants

L’enrichissement collectif ne passe pas seulement par le développement de projets liés aux minéraux critiques, mais par l’ensemble des activités minières au Québec. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon les informations rendues publiques par le ministère des Ressources naturelles et des Forêts plus tôt cette année, les droits miniers versés au gouvernement du Québec n’ont cessé de progresser pour atteindre 631,7 millions de dollars en 2020, un sommet inégalé à ce jour, et 90 % de ce montant provient de l’exploitation des mines d’or et de fer.

En matière de retombées économiques pour le Québec, l’étude rendue publique par l’AMQ en novembre dernier, confirme l’importance de l’apport de l’industrie minière à l’économie québécoise. La contribution de l’industrie au coffre de l’État via des revenus fiscaux et parafiscaux a atteint 1,8 G$. La contribution de l’industrie au PIB du Québec a atteint 10,5 G$ et l’industrie a soutenu 48 187 emplois directs, indirects ou induits.

Pour bénéficier de retombées, il faut des projets et des investisseurs. Dans son dernier rapport, l’Institut de la statistique du Québec a dénombré 3,93 milliards de dollars en investissements miniers en 2021 marquant une amélioration de 39,3 % par rapport à l’année précédente.

Des communications pour alimenter les réflexions

En début d’année, l’AMQ a diffusé une campagne publicitaire unique et audacieuse, intitulée « Des réflexions en profondeur », visant à réfléchir sur le monde qui nous entoure et ses défis. Trois personnalités, Guillaume Dulude, Mylène Paquette et Normand Mousseau ont accepté de livrer leurs réflexions profondes quant à l’avenir de notre planète. Ils se sont questionnés sur les comportements humains, notre rapport à la Terre, la transition énergétique, etc. Chacune de leur réflexion, personnelle et ressentie, fait écho aux enjeux de l’industrie minière.

Un avenir minier prometteur

Outre les nombreux projets miniers de minéraux critiques et stratégiques tels que ceux de Nouveau Monde Graphite, Nemaska Lithium et Sayona Québec (lithium), l’AMQ continuera de suivre l’évolution des projets miniers plus avancés comme celui de la mine Odyssey du Partenariat Canadian Malartic, qui a effectué sa première coulée d’or cette année et celui du Complexe minier Kiena – Wesdome, qui a débuté depuis décembre sa production commerciale d’or.

Le fer de haute pureté, que l’on retrouve principalement dans la Fosse du Labrador, a un bel avenir également, car grâce à ses propriétés uniques, il contribue à la décarbonation de l’acier.
À cet égard, l’Association souhaite que ce minerai de fer de haute pureté soit inclus dans la liste des minéraux critiques et stratégiques et s’inscrive dans les chaines de valeurs prioritaires des gouvernements.

Une industrie en constante amélioration

L’industrie minière évolue et travaille constamment à améliorer ses pratiques environnementales et sociales. De très belles initiatives ont été mises en place au cours des dernières années afin de contribuer aux efforts collectifs d’amélioration du bilan environnemental, notamment pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, de préserver la biodiversité, de régénérer des eaux usées, de restaurer d’anciens parcs à résidus ou d’anciens sites miniers, etc. L’industrie ne ménage pas les efforts pour favoriser une communication transparente et efficace avec les communautés d’intérêts et à faire en sorte que les principaux risques associés à l’exploitation minière soient gérés de façon responsable afin de protéger ses travailleurs, la population et l’environnement.

C’est dans ce même état d’esprit que l’AMQ souhaite aborder l’enjeu des territoires incompatibles avec l’activité minière (TIAM). Nous sommes d’avis que les mesures et les outils qui existent gagneraient à être mieux connus par l’ensemble des intervenants. L’Association est ouverte au dialogue avec le monde municipal afin de trouver des pistes de solution pour une meilleure cohabitation entre l’exploitation minière et les régions qui les accueillent.

« L’AMQ voit l’avenir de l’industrie minière avec beaucoup d’optimisme. Le Québec a tout pour devenir un producteur mondial de premier plan grâce aux bonnes pratiques environnementales et sociales des sociétés minières et au cadre législatif et réglementaire rigoureux qui font de nos projets miniers parmi les plus verts et les plus respectueux au monde.

La voie est pavée pour que notre industrie puisse contribuer significativement, non seulement à la transition énergétique, mais également à l’amélioration de notre empreinte environnementale. Les sociétés minières québécoises sont déjà dans la course aux idées innovantes pour élever la barre en matière d’efficacité énergétique, de protection de la biodiversité et de réduction des GES. »

Josée Méthot, Présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 12 décembre 2022 – L’Association minière du Québec (AMQ) accueille avec enthousiasme la Stratégie canadienne sur les minéraux critiques dévoilée par le gouvernement du Canada vendredi dernier. Cette stratégie contient des orientations en lien avec celles du Québec et permettra certainement à un développement minier responsable et respectueux des communautés.

L’AMQ est heureuse de constater que le gouvernement fédéral souhaite par cette stratégie harmoniser les évaluations d’impacts environnementaux avec celles des provinces afin de réduire les chevauchements et accroître l’efficacité et la certitude du processus réglementaire. Elle salue également les politiques incluses dans cette stratégie qui encourageront notamment l’innovation, la recherche et le développement, la création de la main-d’œuvre et la collaboration et les partenariats avec les communautés autochtones.

Nous le savons, le sous-sol québécois est riche en minéraux stratégiques nécessaires à la transition énergétique et le Québec contribuera à positionner le Canada comme un joueur mondial important notamment avec le développement de la filière batterie, de la mine jusqu’à leur recyclage.

Cette stratégie est cohérente avec la vision de l’industrie minière qui adhère à l’initiative d’amélioration continue Vers le développement minier durable (VDMD). Ce programme de développement durable reconnu mondialement aide les sociétés minières à gérer les principaux risques environnementaux et sociaux en adoptant les meilleures pratiques qui vont bien au-delà des exigences légales et réglementaires. Il comprend plusieurs protocoles constitués d’indicateurs conçus pour favoriser une communication transparente et efficace avec les communautés d’intérêts et faire en sorte que les principaux risques associés à l’exploitation minière soient gérés de façon responsable.

« Les mines québécoises seront au rendez-vous et contribueront activement au déploiement de cette stratégie nationale. Nous avons démontré au fil des ans que nous avions à cœur de développer les projets miniers de façon responsable et dans le respect des milieux et de l’environnement. Le secteur minier canadien représente une réelle solution aux enjeux climatiques tout en étant une source d’enrichissement à fort potentiel. Les retombées positives des MCS s’ajouteront donc aux bénéfices que le Québec tire déjà des filières traditionnelles permettant de créer encore plus de valeur de la valorisation des ressources minérales. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 9 novembre 2022 – L’Association minière du Québec (AMQ) est heureuse de rendre publique la dernière étude sur les retombées économiques de l’industrie minière au Québec, relative à l’année 2020. Cette étude confirme l’importance de la contribution de l’industrie minière à l’économie québécoise et permet de quantifier l’ampleur des retombées du point de vue des emplois générés et soutenus, de la contribution au produit intérieur brut (PIB) du Québec, de leur contribution au coffre de l’État, mais également de leur répartition dans les diverses régions du Québec.

Ce rapport démontre concrètement le rôle de l’industrie minière dans l’économie québécoise. En 2020, l’ensemble des activités de l’industrie au Québec atteignait 12,5 G$, dont 11,7 G$ consacrés à l’exploitation et à l’exploration minière. La contribution de l’industrie au PIB du Québec n’a cessé de croître sur la période couverte par les rapports sur les retombées économiques produits par l’AMQ, soit entre 2014 et 2020, atteignant ainsi 10,5 G$, soit un bond de 36,4%.

L’étude met en lumière l’apport de l’industrie dans les régions minières, mais également dans les grands centres urbains. Pour l’AMQ, il est clair que des régions comme Montréal ou la Montérégie sont beaucoup plus près de l’industrie minière qu’on peut le croire. À titre d’exemple, l’ensemble des activités minières (exploitation, exploration et investissements) en Abitibi-Témiscamingue, région minière numéro un, atteignait 3,52 milliards de dollars, tandis que la région de Montréal arrive au troisième rang avec un total sur son territoire de l’ordre de 1,3 milliard de dollars.

En matière d’emplois, l’étude révèle que l’ensemble des activités minières a soutenu au Québec 48 187 années-personnes de travail sous forme d’emplois directs, indirects et induits. De ce nombre, 15 589 sont occupés par des résidents de l’Abitibi-Témiscamingue, 7 585 par des résidents de la Côte-Nord et 10 618 par des résidents de Montréal et de la Montérégie. Les femmes sont de plus en plus présentes au sein de l’industrie minière, voyant son nombre d’emplois directs augmenter de 42 % entre 2014 et 2020. On remarque le même phénomène du côté des travailleurs provenant des communautés autochtones dont le nombre a augmenté de 69 % en six ans.

Le secteur minier est composé d’un réseau de plus de 4 850 fournisseurs, ayant leur place d’affaires au Québec. De ce nombre, 1 483 ont leur place d’affaires en Abitibi-Témiscamingue, 906 à Montréal et 556 en Montérégie.

En réalisant cette étude aux deux ans, l’AMQ offre des réponses aux questions qui lui sont souvent posées notamment : combien les gouvernements perçoivent-ils de la mise en valeur des ressources minérales? La réponse : 2,4 milliards de dollars en 2020. Plus précisément, ce sont plus de 1,8 milliard de dollars qui ont été versés au gouvernement du Québec et 620 millions de dollars pour le gouvernement du Canada, et ce, sans compter l’impôt sur le revenu des sociétés.
La plus importante contribution à cette hausse des revenus fiscaux provient des droits miniers qui ont plus que quintuplé, passant de 121,1 M$ en 2014 à 631,7 M$ en 2020.

Pour consulter l’étude complète, cliquez ici.

« L’industrie minière a fait preuve de beaucoup de résilience et a mis en place de nombreuses solutions pour limiter les répercussions de la crise de la COVID-19 sur ses opérations. Ces actions ont eu des répercussions positives et ont permis de maintenir à l’emploi un grand nombre de travailleurs aidant ainsi les régions à traverser cette pandémie. »

« Le Québec est un territoire riche en minéraux et les activités de l’industrie minière contribuent à sa vitalité économique. L’apport du secteur minier au PIB du Québec est indéniable. La croissance marquée des revenus fiscaux, parafiscaux et des redevances minières est un signe probant de la valeur ajoutée de l’industrie pour le Québec et pour son gouvernement. Entre 2014 et 2020, ils ont bondi de 77%. Une bonne partie de cette hausse s’explique par l’augmentation de 422% des droits miniers qui se chiffrent à 631,7 M$ pour l’année 2020. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 9 novembre 2022 – L’Association minière du Québec (AMQ) publie son rapport sur les retombées économiques de l’industrie minière pour l’année 2020. On dénote que le Nord-du-Québec demeure un acteur stratégique du secteur minier.

À travers l’étude, les indicateurs démontrent que le Nord-du-Québec joue un rôle important dans l’industrie minière québécoise. Étant donné l’éloignement de la région, il n’est pas surprenant de trouver des indicateurs liés aux emplois ou aux fournisseurs plus faibles que pour l’Abitibi-Témiscamingue par exemple.

Alors que l’ensemble du Québec bénéficie de 10,5 milliards de dollars des retombées des activités des sociétés minières au Québec, le Nord-du-Québec génère à lui seul 1,1 milliard de dollars, soit 10,3 % de la contribution totale de l’industrie minière au produit intérieur brut (PIB) du Québec. En ce qui a trait au PIB régional, l’industrie minière au Québec contribue à hauteur de 21 %.

En matière d’emplois, l’étude révèle que l’ensemble des activités minières a soutenu au Québec 48 187 années-personnes de travail sous forme d’emplois directs, indirects et induits. De ce nombre, plus de 700 sont des emplois directs et 1 645 (2,5%) sont occupés par des résidents du Nord-du-Québec qui participent ainsi à l’économie locale. Il est intéressant de constater que malgré la pandémie de la COVID-19, l’industrie minière a su limiter les répercussions sur l’emploi. Entre 2018 et 2020, les emplois générés par les activités des sociétés minières dans le Nord-du-Québec sont passés de 1 460 à 1 645 (+12,7%).

La pandémie de la COVID-19 ayant fragilisé les chaînes d’approvisionnement, les entreprises minières ont dû élargir leur réseau de fournisseurs afin de continuer leurs activités. En ce sens, le nombre total de fournisseurs de l’industrie minière qui ont leur place d’affaires au Québec est de 4 857 en 2020. Ceci équivaut à une hausse de 27,8% en deux ans. Du total des fournisseurs, 83 sont dans la région du Nord-du-Québec.

Rappelons également que les activités minières sont une source de revenus non négligeables à la fois pour le Gouvernement du Québec et celui du Canada. Ces deux entités ont perçu 2,4 milliards de dollars grâce aux revenus fiscaux et parafiscaux, dont près de 1,8 milliard de dollars pour le Gouvernement du Québec, et ce, sans compter l’impôt sur le revenu des sociétés. À titre d’exemple, les revenus fiscaux pour le gouvernement du Québec ont connu une augmentation de 77,3% entre 2014 et 2020.

La plus importante contribution à cette hausse provient des droits miniers qui ont plus que quintuplé pendant cette période, atteignant 631,7 M$ pour l’année 2020, un sommet inégalé à ce jour.

Bien qu’elles se rapportent aux activités de 2020, ces données sont les plus récentes et les plus représentatives de la contribution de l’industrie minière au développement socioéconomique de la province.

Pour consulter l’étude complète, cliquez ici.

« L’industrie minière a fait preuve de beaucoup de résilience et a mis en place de nombreuses solutions pour naviguer durant la crise de la COVID-19 et limiter ses répercussions. Pour ce premier constat, qui porte sur 2020, nous ne pouvons que saluer les efforts qui ont porté leurs fruits. Malgré une prudence qui était de mise pour les entreprises minières, le rapport démontre tout de même une augmentation des retombées économiques au Québec. »

« Le Nord-du-Québec est sans contredit une région minière à fort potentiel. De nombreux projets miniers sont en développement notamment pour les minéraux essentiels à l’électrification des transports et à la transition énergétique tels que le lithium et les terres rares. L’avenir s’annonce donc prometteur pour cette région. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 9 novembre 2022 – L’Association minière du Québec (AMQ) publie son rapport sur les retombées économiques de l’industrie minière pour l’année 2020 qui place la Côte-Nord parmi les plus grands joueurs de l’industrie. Que ce soit en matière d’emplois ou de retombées générées par les activités de l’industrie minière dans la région, tous les indicateurs traduisent la valeur ajoutée du secteur minier pour la Côte-Nord.

Alors que l’ensemble du Québec bénéficie de 10,5 milliards de dollars des retombées des activités des sociétés minières au Québec, la Côte-Nord génère à elle seule, 2,9 milliards de dollars, soit 28 % de la contribution totale de l’industrie minière au produit intérieur brut (PIB) du Québec. Pour ce qui est du PIB régional, l’industrie minière au Québec contribue à hauteur de 37,5 %.

En matière d’emplois, l’étude révèle que l’ensemble des activités minières a soutenu au Québec 48 187 années-personnes de travail sous forme d’emplois directs, indirects et induits. La Côte-Nord est la deuxième région ressource du Québec où l’industrie fournit le plus d’emplois avec 11,6% du total des emplois générés par les activités des sociétés minières au Québec, soit 7 585. Ainsi, en comparant avec les données du rapport de 2014, les emplois générés par l’ensemble des activités minières sur la Côte-Nord ont bondi de 89% entre 2014 et 2020. Il est également intéressant de mentionner que des 3 724 emplois directs du secteur minier dans la région, 61,2% des employés sont des résidents de la Côte-Nord qui participent à l’économie locale.

La pandémie de la COVID-19 ayant fragilisé les chaînes d’approvisionnement, les entreprises minières ont dû élargir leur réseau de fournisseurs afin de continuer leurs activités. En ce sens, le nombre total de fournisseurs de l’industrie minière qui ont leur place d’affaires au Québec est de 4 857, soit une hausse de 27,8% en deux ans. Entre 2018 et 2020, la Côte-Nord a vu son nombre de fournisseurs augmenter, passant de 174 à 199.

Rappelons également que les activités minières sont une source de revenus non négligeables à la fois pour le Gouvernement du Québec et celui du Canada. Ces deux entités ont perçu 2,4 milliards de dollars grâce aux revenus fiscaux et parafiscaux, dont près de 1,8 milliard pour le Gouvernement du Québec, et ce, sans compter l’impôt sur le revenu des sociétés. À titre d’exemple, les revenus fiscaux pour le gouvernement du Québec ont connu une augmentation de 77,3% entre 2014 et 2020.

La plus importante contribution à cette hausse provient des droits miniers qui ont plus que quintuplé pendant cette période, atteignant 631,7 M$ pour l’année 2020.


Bien qu’elles se rapportent aux activités de 2020, ces données sont les plus récentes et les plus représentatives de la contribution de l’industrie minière au développement socioéconomique de la province.

Pour consulter l’étude complète, cliquez ici.

« L’industrie minière a fait preuve de beaucoup de résilience et a mis en place de nombreuses solutions pour limiter les répercussions de la crise de la COVID-19 sur ses opérations. Ces actions ont eu des répercussions positives, car le rapport démontre une augmentation des retombées économiques malgré le contexte pandémique. La Côte-Nord est l’une des régions minières les plus importantes pour le développement économique du Québec. La contribution des activités des sociétés minières au PIB régional est probante. »

« En plus de sa contribution à l’économie du Québec, la Côte-Nord est reconnue pour son fer de haute pureté. L’avenir s’annonce donc prometteur pour la région, car le fer qui en est extrait jouera un rôle environnemental considérable dans la décarbonation de l’industrie de l’acier. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 9 novembre 2022 – L’Association minière du Québec (AMQ) publie son rapport sur les retombées économiques de l’industrie minière pour l’année 2020 et confirme une fois de plus que l’Abitibi-Témiscamingue demeure le pôle névralgique du secteur minier.

Que ce soit en matière d’emplois ou de retombées générées par les activités de l’industrie minière dans la région, tous les indicateurs laissent entrevoir non seulement une domination de l’Abitibi-Témiscamingue, mais également une augmentation pour cette période marquée par le début de la pandémie de la COVID-19.

Alors que l’ensemble du Québec bénéficie de 10,5 milliards de dollars des retombées des activités des sociétés minières au Québec, l’Abitibi-Témiscamingue génère à elle seule 3,3 milliards de dollars, soit 31,4 % de la contribution totale de l’industrie minière au produit intérieur brut (PIB) du Québec. En ce qui a trait au PIB régional, l’industrie minière au Québec contribue à hauteur de 35,8 %.

En matière d’emplois, l’étude révèle que l’ensemble des activités minières a soutenu au Québec 48 187 années-personnes de travail sous forme d’emplois directs, indirects et induits. De ce nombre, 15 589 (23,9%) sont occupés par des résidents de l’Abitibi-Témiscamingue, dont 6 669 emplois directs. Il est intéressant de constater que malgré la pandémie de la COVID-19, l’industrie minière a su limiter les répercussions sur l’emploi. Entre 2018 et 2020, les emplois générés ou soutenus en Abitibi-Témiscamingue sont passés de 14 907 à 15 589 (+4,5%) et ceci ne tient pas compte de tous les travailleurs miniers de la région qui travaillent au Nunavut ou ailleurs dans le monde.

La pandémie de la COVID-19 ayant fragilisé les chaînes d’approvisionnement, les entreprises minières ont dû élargir leur réseau de fournisseurs afin de continuer leurs activités. En ce sens, le nombre total de fournisseurs de l’industrie minière qui ont leur place d’affaires au Québec a atteint 4 857, soit une hausse de 27,8% en deux ans, dont 1 483 en Abitibi-Témiscamingue. En résumé, c’est un véritable cercle vertueux qui s’est mis en place pour contrer les défis posés par la pandémie.

Rappelons également que les activités minières sont une source de revenus non négligeables à la fois pour le Gouvernement du Québec et celui du Canada. Ces deux entités ont perçu 2,4 milliards de dollars grâce aux revenus fiscaux et parafiscaux, dont plus de 1,8 milliard pour le Gouvernement du Québec, et ce, sans compter l’impôt sur le revenu des sociétés. À titre d’exemple, les revenus fiscaux pour le gouvernement du Québec ont connu une augmentation de 77,3% entre 2014 et 2020. La plus importante contribution à cette hausse provient des droits miniers qui ont plus que quintuplé pendant cette période, atteignant 631,7 M$ pour l’année 2020.

Bien qu’elles se rapportent aux activités de 2020, ces données sont les plus récentes et les plus représentatives de la contribution de l’industrie minière au développement socioéconomique du Québec.

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« L’industrie minière a fait preuve de beaucoup de résilience et a mis en place de nombreuses solutions pour limiter les répercussions de la crise de la COVID-19 sur ses opérations. Ces actions ont entraîné des répercussions positives, car le rapport démontre une augmentation des retombées économiques malgré le contexte pandémique. L’Abitibi-Témiscamingue s’avère être, cette année encore, un pilier central de l’industrie dont la contribution des activités de la part des sociétés minières au PIB régional est considérable. »

« L’Abitibi-Témiscamingue est un acteur stratégique de l’industrie minière. L’étude le démontre clairement. Sur l’ensemble des activités des sociétés minières présentes au Québec, l’Abitibi-Témiscamingue trône au sommet des régions qui emploient le plus grand nombre de travailleurs miniers, ce qui témoigne de l’importance de l’industrie pour la vitalité économique de la région. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 21 octobre 2022 – L’Association minière du Québec (AMQ, Association) félicite Madame Maïté Blanchette Vézina pour sa nomination à titre de ministre des Ressources naturelles et des Forêts et tient à lui offrir son entière collaboration afin d’assurer un développement durable et responsable de notre industrie minière, source de richesse et de fierté pour le Québec.

L’Association souhaite également féliciter Messieurs Benoit Charette et Ian Lafrenière pour avoir été reconduits dans leurs fonctions respectives de ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs et de ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit. L’AMQ sera heureuse de poursuivre les discussions avec ces deux ministres afin qu’ils tiennent compte des réalités du développement minier au Québec en matière d’autorisations environnementales et de relations avec les communautés.

L’AMQ félicite aussi M. Pierre Fitzgibbon pour son mandat élargi à titre de ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie. L’AMQ souhaite collaborer avec ce dernier afin d’envisager des pistes de solution quant aux enjeux énergétiques de son secteur notamment en raison du besoin grandissant en hydroélectricité dû à la décarbonation des installations minières.

Le Québec peut compter sur une industrie minière forte qui s’est taillée une excellente réputation à l’échelle mondiale grâce à sa main-d’œuvre qualifiée et ses façons de faire éthiques, responsables et respectueuses. L’industrie minière désire continuer sa grande contribution à la prospérité socioéconomique du Québec et de ses régions. L’AMQ espère donc que le gouvernement continuera de positionner le secteur minier comme une réelle solution aux enjeux climatiques et demeurera à l’écoute afin de favoriser un climat propice aux investissements et au développement minier au Québec assurant ainsi sa compétitivité à l’échelle mondiale.

« Beaucoup de travail a été fait au cours des quatre dernières années, mais plusieurs enjeux demeurent afin que notre industrie puisse poursuivre son développement et améliorer sa compétitivité sur la scène mondiale. Nous poursuivrons notre collaboration avec le gouvernement afin de maintenir ici une activité minière forte. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ.

À propos de l’Association minière du QuébecFondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des activités totalisant 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 12 octobre 2022 – L’industrie minière évolue, change et innove afin d’améliorer ses pratiques environnementales et sociales. La récente annonce de Rio Tinto Fer et Titane (RTFT) en est un bon exemple. L’Association minière du Québec (AMQ) tient donc à féliciter Rio Tinto et le gouvernement du Canada pour cette collaboration qui permettra d’abaisser significativement les émissions de gaz à effet de serre liées aux activités de l’entreprise à Sorel-Tracy.

L’industrie minière constitue un maillon important dans le développement de la chaîne de valeur des minéraux critiques et stratégiques (MCS). Ces investissements majeurs contribueront donc à favoriser le traitement de ces minéraux, essentiels à la transition énergétique dans laquelle le Canada et le Québec se sont engagés afin de lutter contre les changements climatiques.

L’AMQ est persuadée de voir une multiplication d’annonces comme celle-ci dans les années à venir, car l’industrie minière consacre énormément d’efforts en recherche et développement pour innover afin d’améliorer son bilan environnemental. L’une des forces du Canada est qu’il peut compter sur des ressources minérales et une main-d’œuvre qualifiée parmi les meilleures au monde lui permettant de se démarquer notamment pour ses façons de faire éthiques, responsables et respectueuses de l’environnement et des communautés.

«Je ne peux que me réjouir face à une telle annonce. Ce partenariat démontre une fois de plus l’intention du gouvernement de positionner le secteur minier comme une réelle solution aux enjeux climatiques et comme une source d’enrichissement à fort potentiel pour le Canada. L’industrie minière est prête et sera présente pour relever le défi de la décarbonation.»

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 187 emplois et des dépenses totales de 11,7 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de l’année 2020, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.