Québec, le 18 septembre 2020 – La mine Goldex de Mines Agnico Eagle et la mine Canadian Malartic de Canadian Malartic G.P font partie des trois entreprises honorées lors de la 54e édition de la remise des prestigieux trophées F.J. O’Connell décernés par l’Association minière du Québec (AMQ) afin de valoriser l’atteinte d’un haut niveau de performance en matière de santé et sécurité du travail (SST).

La mine Goldex a remporté le trophée dans la catégorie « Opérations souterraines – 400 000 heures et plus travaillées », tandis que la mine Canadian Malartic s’est illustrée dans la catégorie « Opérations de surface, transport et première transformation des métaux ». La troisième entreprise lauréate d’un trophée F.J. O’Connell est Mines Seleine, K+S Sel Windsor ltée, des Îles-de-la-Madeleine, dans la catégorie « Opérations souterraines avec moins de 400 000 heures travaillées ».

Depuis 1966, ces trophées sont attribués annuellement afin de sensibiliser les travailleurs et les superviseurs à l’importance du travail d’équipe afin de prévenir les accidents dans les opérations minières. Les critères d’attribution tiennent également compte de l’amélioration de la performance, de la performance par rapport à la moyenne de l’industrie et de la fréquence combinée des accidents en fonction des valeurs cibles déterminées.

« Pour l’AMQ, qui a été fondée en 1936 afin que le bilan SST s’améliore dans les mines, il est important de reconnaître l’engagement et l’implication exemplaire des sociétés minières et de leurs employés envers la santé et la sécurité du travail. C’est pourquoi l’Association remet, depuis maintenant près de 55 ans, les trophées F.J. O’Connell pour souligner les efforts de chacun afin d’offrir des environnements de travail sécuritaires pour tous. Les sociétés minières misent grandement sur la prévention et nous remarquons que les résultats sont au rendez-vous. »

« En cette période de pandémie liée à la COVID-19, la santé et la sécurité des employés et celle de leur famille est plus que jamais un sujet d’actualité. Les mines du Québec ont su conjuguer la mise en place de mesures sanitaires, tout en maintenant un haut niveau de précaution pour éviter les accidents. Nous pouvons être fiers de ce que les compagnies ont déployé comme efforts et cela démontre une fois de plus que la SST dans les mines est prise très au sérieux. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ


À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 18 septembre 2020 – Mines Seleine – K+S Sel Windsor ltée est une des trois entreprises honorées lors de la 54e édition de la remise des prestigieux trophées F.J. O’Connell décernés par l’Association minière du Québec (AMQ) afin de valoriser l’atteinte d’un haut niveau de performance en matière de santé et sécurité du travail (SST).

Mines Seleine – K+S Sel Windsor ltée a remporté le trophée dans la catégorie « Opérations souterraines avec moins de 400 000 heures travaillées ». Les deux autres entreprises lauréates, toutes deux situées en Abitibi-Témiscamingue, sont la mine Goldex, de Mines Agnico Eagle, qui s’est méritée le trophée dans la catégorie « Opérations souterraines – 400 000 heures et plus travaillées » et la mine Canadian Malartic, de Canadian Malartic G.P., qui s’est illustrée dans la catégorie « Opérations de surface, transport et première transformation des métaux ».

Depuis 1966, ces trophées sont attribués annuellement afin de sensibiliser les travailleurs et les superviseurs à l’importance du travail d’équipe afin de prévenir les accidents dans les opérations minières. Les critères d’attribution tiennent également compte de l’amélioration de la performance, de la performance par rapport à la moyenne de l’industrie et de la fréquence combinée des accidents en fonction des valeurs cibles déterminées.

« Pour l’AMQ, qui a été fondée en 1936 afin que le bilan SST s’améliore dans les mines, il est important de reconnaître l’engagement et l’implication exemplaire des sociétés minières et de leurs employés envers la santé et la sécurité du travail. C’est pourquoi l’Association remet, depuis maintenant près de 55 ans, les trophées F.J. O’Connell pour souligner les efforts de chacun afin d’offrir des environnements de travail sécuritaires pour tous. Les sociétés minières misent grandement sur la prévention et nous remarquons que les résultats sont au rendez-vous. »

« En cette période de pandémie liée à la COVID-19, la santé et la sécurité des employés et celle de leur famille est plus que jamais un sujet d’actualité. Les mines du Québec ont su conjuguer la mise en place de mesures sanitaires, tout en maintenant un haut niveau de précaution pour éviter les accidents. Nous pouvons être fiers de ce que les compagnies ont déployé comme efforts et cela démontre une fois de plus que la SST dans les mines est prise très au sérieux. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ


À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 2 septembre 2020 – L’Association minière du Québec accueille positivement la publication du nouveau Règlement sur l’encadrement d’activités en fonction de leur impact sur l’environnement (REAFIE) qui met fin à des mois d’attente afin de doter le Québec d’un cadre clair en matière de processus d’autorisation environnementale. Une analyse plus approfondie demeure toutefois nécessaire afin de déterminer l’impact réel des dispositions réglementaires sur le secteur minier.

Pour l’AMQ, il n’est pas acquis que les modifications apportées permettront de réduire les délais d’autorisation des projets miniers, élément majeur en ce qui concerne l’attractivité du Québec auprès des investisseurs. L’industrie minière devra donc être patiente puisque les bénéfices réels ne se feront sentir qu’à moyen et long terme.

« L’industrie minière prône depuis plusieurs années une réduction des irritants dans le développement des projets miniers, sans pour autant demander une déréglementation. Le gouvernement actuel s’y est attaqué avec sérieux et en collaboration avec les différents secteurs concernés. Nous en sommes satisfaits et saluons la démarche. Toutefois, l’impact réel des modifications sur le secteur n’est pas mesurable à ce stade ci et seul le temps dira si les objectifs ont été atteints. »

« Le processus de modification de la réglementation, qui a débuté sous le précédent gouvernement, a été long et a malheureusement nui à l’attractivité du Québec, qui a plongé de la 4e à la 18e position du palmarès des meilleures juridictions mondiales où investir. En ce qui concerne spécifiquement la prévisibilité de sa réglementation environnementale, le Québec est passé de la 10e à la 41e place. Cela démontre clairement que les investisseurs ont horreur de l’incertitude. Le moment est donc venu de bien intégrer la nouvelle réglementation et de continuer à développer des mines dans le respect des gens et de l’environnement. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’Association minière du Québec

À propos de l’Association minière du Québec
Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 20 mai 2020 – Fière des réalisations de ses membres, l’Association minière du Québec (AMQ) félicite Mine Raglan, une compagnie Glencore qui a brillé lors de la plus récente remise des prestigieux prix d’excellence de l’Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole (ICM).

Mine Raglan a reçu le trophée John T. Ryan national pour les mines de métaux, récompensant la mine qui affiche la plus faible fréquence d’accidents déclarés au pays. Rappelons que l’an dernier, l’entreprise avait décroché le prix pour la région Québec-Maritimes.

La médaille pour le leadership en matière de sécurité minière a quant à elle été remise à Charles Levac, dirigeant à la retraite de Mine Raglan, afin de reconnaître sa contribution exemplaire dans l’amélioration de la santé et des résultats concernant la sécurité au sein de l’industrie minière canadienne.

« Ces distinctions remises par l’ICM démontrent le leadership que joue le Québec en matière de santé et de sécurité dans les mines. L’expertise québécoise est reconnue certes au Canada, mais également partout sur la planète et nous pouvons en être fiers. »

« Nous devons pouvoir compter sur des entreprises et des travailleurs qui mettent de l’avant les plus hauts standards en matière de santé et de sécurité du travail. C’est d’autant plus vrai en cette période particulière de pandémie où cet enjeu est sur toutes les lèvres. Je profite de l’occasion pour remercier les hommes et les femmes qui veillent chaque jour à offrir des environnements de travail sécuritaires. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 13 avril 2020 – L’Association minière du Québec (AMQ) accueille positivement la décision du gouvernement du Québec de ne plus restreindre au minimum (care and maintenance) les activités d’exploitation minière et assure qu’elles se dérouleront dans le respect des travailleurs, de leur santé et de leur sécurité, de même que celles de leurs proches et de la population. Aucun compromis ne sera fait sur cet aspect.

Pour y parvenir, les sociétés minières interviendront avant ou au point d’entrée des sites miniers afin de ne donner accès qu’aux personnes ne présentant pas de risques de propagation de la COVID-19 ou qui ne font pas partie de groupes de personnes à risque.

En plus des actions déployées avant l’entrée au site, les mesures mises en place dans l’industrie minière permettent :

  • D’intensifier le nettoyage et la désinfection sur le site minier et les équipements, de même que les moyens de transport;
  • De réorganiser le travail si nécessaire afin de limiter les contacts entre les travailleurs et assurer une distanciation physique;
  • De déterminer les façons de faire en prévision de l’apparition de symptômes chez un membre du personnel ou un fournisseur;
  • Etc.

« Les sociétés minières prennent très au sérieux les risques de propagation de la COVID 19 et appliquent des mesures avant même l’entrée aux sites miniers. Jamais les aspects économiques ne prendront le dessus sur la santé et la sécurité. »

« Le gouvernement reconnaît le caractère prioritaire du secteur minier en raison notamment de son impact économique et de son importance dans la chaine d’approvisionnement de nombreuses industries, comme pour le secteur médical, mais aussi parce que les juridictions compétitrices du Québec n’ont pas cessé leurs activités. Comme la crise aura une fin, il faut être en bonne position pour demeurer compétitif. C’était la meilleure décision à prendre, étant donné que les sociétés minières ont démontré qu’elles pouvaient opérer de façon sécuritaire. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 10 mars 2020 – L’Association minière du Québec (AMQ) demeure sur son appétit à la lecture du Budget 2020-2021 déposé par le ministre des Finances, elle qui espérait des mesures beaucoup plus spécifiques pour stimuler l’activité minière.

La bonne nouvelle de ce budget est l’intention du gouvernement de valoriser les minéraux critiques et stratégiques (MCS) grâce à une enveloppe de 90 millions de dollars qui servira notamment à :

• Intensifier l’acquisition de connaissances, l’éducation et la sensibilisation sur les minéraux critiques et stratégiques, ainsi que la promotion de leur potentiel;

• Favoriser l’innovation et développer l’expertise et les chaînes de valeur associées aux MCS;

• Contribuer au développement de la filière verte, du recyclage et de pratiques environnementales exemplaires.

Alors qu’elle demandait principalement un soutien pour diminuer les coûts liés au développement minier, cette mesure est la seule mesure concrète spécifique à l’industrie minière.

Parmi les éléments intéressants du Budget, l’Association note la mise en place d’un nouveau crédit d’impôt à l’investissement et à l’innovation (C3i), qui vise à encourager les entreprises à acquérir du matériel de fabrication et de transformation, du matériel informatique et des progiciels de gestion. L’AMQ aurait toutefois espéré que le secteur minier soit aussi admissible au congé fiscal pour grands projets d’investissement, lui qui a été auparavant exclu sans justification.

Alors que le secteur minier amorce son virage vers la mine numérique, l’AMQ voit d’un bon œil les objectifs du C3i qui permettra entre autres de :

• Soutenir les acquisitions de nouvelles technologies permettant la numérisation des processus de production;

• Favoriser la modernisation des équipements manufacturiers afin d’accroître l’usage de la robotisation et de l’automatisation.

« Alors que le Québec est passé du 4e au 18e rang du dernier classement de l’Institut Fraser sur les meilleures juridictions mondiales où investir, l’Association minière du Québec aurait espéré plus de ce Budget 2020-2021. Nous demeurons toutefois confiants quant aux intentions du gouvernement envers le secteur minier, notamment pour le rendre plus compétitif, attrayant et porteur de prospérité pour le Québec. »

« Bien que déçus du peu d’écho fait au secteur minier dans le Budget, nous continuerons de collaborer avec le gouvernement afin d’être un partenaire de premier ordre pour assurer la pérennité des activités minières au Québec. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 25 février 2020 – C’est une réelle douche d’eau froide qu’a reçue le Québec avec la publication des résultats de l’enquête annuelle de l’Institut Fraser sur l’attractivité des juridictions minières à travers le monde. En passant du 4e au 18e rang mondial, le Québec affiche son pire résultat depuis 2014, ce qui n’est pas sans inquiéter l’Association minière du Québec (AMQ) qui constate également son recul dans le classement des juridictions canadiennes, alors qu’il figure à la troisième position (2e en 2019).

Ces résultats confirment les préoccupations exprimées depuis de nombreuses années par l’AMQ afin que le gouvernement mette en place des mesures pour faciliter le développement minier, sans le déréglementer. L’étude démontre malheureusement que les gouvernements fédéral et provincial ne sont pas parvenus à proposer un climat attractif pour les investisseurs, notamment par une adoption tardive de la nouvelle loi fédérale sur les processus d’autorisation environnementale; alors qu’au Québec, le secteur minier est toujours en attente des nouvelles dispositions réglementaires sur ces processus. Sur ce point, l’AMQ salue toutefois l’ouverture du gouvernement québécois dans le processus d’élaboration des nouvelles dispositions qui sont présentement en période de consultation.

À la lecture des résultats, force est de constater la mauvaise performance du Québec dans plusieurs champs névralgiques pour le développement du secteur minier :

• Incertitude concernant la réglementation environnementale
(10e en 2019 à 41e en 2020);

• Doublons et incohérences réglementaires
(17e en 2019 à 27e en 2020);

• Incertitude concernant les aires protégées
(13e en 2019 à 27e en 2020);

• Incertitude concernant l’administration, l’interprétation et l’application de la réglementation existante
(11e en 2019 à 28e en 2020).

Malgré que le Québec ait gagné deux positions en regard de son régime fiscal, il se classe tout de même au 26e rang mondial. Il y a encore place à l’amélioration et l’Association espère que le gouvernement sera sensible à ses revendications faites en prévision du dépôt du Budget 2020-2021, ce qui permettrait d’apporter, par des mesures simples et réalistes, une bouffée d’air frais aux sociétés minières qui choisissent le Québec pour mener leurs activités.

« Bien que l’on sente une réelle volonté du gouvernement du Québec de diminuer les délais d’obtention de permis, de proposer une réglementation environnementale tenant compte des réalités du secteur minier et de diminuer les fardeaux financiers et administratifs, cela ne se répercute pas sur l’indice de confiance des investisseurs qui continuent de voir le Québec comme une juridiction où l’incertitude plane. Les investisseurs cherchant la prévisibilité, les résultats dévoilés par l’Institut Fraser doivent être perçus comme un signal clair en faveur d’une amélioration immédiate du climat d’investissement et un rappel que le Québec est en compétition avec le reste de la planète pour attirer les projets miniers. »

« Il est vrai que l’industrie minière se porte relativement bien au Québec. Il ne faut toutefois pas attendre le prochain cycle baissier pour poser des gestes permettant d’améliorer l’attractivité de la province. Lorsqu’on sait qu’un gisement découvert aujourd’hui pourrait devenir une mine dans quinze ans, c’est maintenant qu’il faut agir pour assurer la pérennité de l’industrie minière au Québec et ses importantes retombées socioéconomiques. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 22 janvier 2020 – Unis afin d’outiller les entreprises minières et les organismes dans leur transition vers les mines 4.0 et pour aider les travailleurs à relever les défis qui s’y rattachent, l’Association minière du Québec (AMQ), le Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’industrie des mines (CSMO Mines) et l’Institut national des mines du Québec (INMQ) mettent à la disposition du secteur minier des outils concrets pour développer les compétences numériques du personnel minier.

La transition des compétences vers des métiers spécialisés est un enjeu partagé entre les entreprises minières qui adoptent avec plus en plus de convictions de nouveaux outils pour faire évoluer leur organisation et ainsi mieux saisir les occasions que propose l’industrie 4.0. Grâce aux outils développés, les sociétés minières et les organismes continueront à intégrer les nouvelles technologies dans leur quotidien, et ce, en considérant les besoins de formation de leur main-d’œuvre actuelle.

Des entreprises mieux outillées pour la transition

Après avoir dressé, à la phase 1 du projet, le Portrait numérique de l’industrie minière au Québec, la phase 2 a permis d’établir un cadre de référence des compétences requises à l’ère du numérique pour 11 postes plus vulnérables à la transition et d’identifier des gestes-clés essentiels à développer pour occuper ces postes.

Le Portrait et le cadre de référence permettent de mieux saisir la situation actuelle des sociétés minières qui convergent vers la mine 4.0 et d’identifier les compétences à développer. La phase 3 visait à créer un guide d’outils de gestion de ressources humaines pour appliquer ce qui est ressorti des deux premières étapes. Ces outils faciliteront le développement des travailleurs et offriront un soutien à l’embauche pour les emplois ciblés.

Les outils suivants sont donc maintenant disponibles pour les entreprises et organismes : des descriptions de postes et des profils de compétences actuels et futurs, des matrices de questions d’entrevue comportementale, des plans de développement et de formation et un guide de gestion du changement en six étapes pour bien réussir l’intégration de ces changements inévitables.

« Le passage des mines traditionnelles aux mines actuelles a nécessité une adaptation de la part des travailleurs. Ce sera aussi le cas pour cette transition numérique. Bien que l’humain sera toujours essentiel à la bonne marche de l’industrie minière, il est important pour l’AMQ d’appuyer ses membres dans la réussite de cette inévitable et nécessaire révolution industrielle. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

« De nouvelles façons de faire sollicitent de nouvelles compétences. L’industrie minière se transforme et la réussite de la transition à l’ère du numérique impose des ajustements sur les organisations et sur les compétences nécessaires à cette transition. C’est pourquoi il est impératif pour l’industrie minière d’être un acteur proactif dans la gestion de ces changements vers le numérique. »

– Kathy Gauthier, directrice générale du CSMO Mines

« La formation tout au long de la vie est essentielle à la réussite d’un secteur industriel comme le secteur minier. S’approprier les technologies, développer ses compétences et mieux s’adapter à l’évolution de la mine 4.0 en se formant est le gage d’un succès assuré et de la pérennité de l’industrie minière québécoise. »

– Jean-François Pressé, président-directeur général de l’INMQ

Québec, le 10 janvier 2020 – L’Association minière du Québec (AMQ) est heureuse de souligner l’intronisation de M. Eberhard (Ebe) Scherkus au Temple de la renommée du secteur minier canadien (TRSMC), en reconnaissance de son incroyable contribution à l’industrie minière québécoise et canadienne.

Fervent défenseur de l’industrie minière, Ebe Scherkus a joué un rôle actif au sein de l’AMQ, où il a été membre du conseil d’administration de 1990 à 1997 et président du conseil d’administration de 1994 à 1995.

Ebe Scherkus a également joué un rôle clé dans ce qu’est devenue Mines Agnico Eagle. C’est sous son impulsion que la compagnie est passée de producteur d’or canadien marginal à celle que l’on connaît aujourd’hui, exploitant neuf mines dans le monde, dont le Canada, la Finlande et le Mexique, avec des projets de développement dans ces trois pays, ainsi qu’aux États-Unis et en Suède.

L’héritage d’Ebe Scherkus

On doit à M. Scherkus ce qui est devenue la mine la plus profonde des Amériques : la mine LaRonde. À son arrivée chez Agnico Eagle en 1985, il s’agissait d’un gisement de petite taille avec des réserves évaluées à 200 000 onces d’or. Comme géologue, il a toujours cru au pouvoir de l’exploration. C’est ainsi qu’il a convaincu l’entreprise d’investir davantage afin de découvrir le plein potentiel de ce gisement. En trois ans, il avait identifié des réserves permettant de prolonger de 10 ans la durée de vie de la mine qui, on le sait, continue de grandir encore aujourd’hui, elle qui a produit plus de cinq millions d’onces d’or depuis son ouverture et qui compte encore des réserves pour près de 10 ans de production!

M. Scherkus a aussi réussi à faire rayonner l’expertise québécoise et canadienne à l’international. Il n’a jamais hésité à faire confiance à l’expertise locale pour appuyer le développement des projets miniers. Cet appui a permis à bon nombre d’entreprises de services spécialisés, d’équipementiers, de firmes d’ingénierie, etc. d’innover et de développer des expertises uniques. Plusieurs de ces entreprises sont devenues des fleurons canadiens, en mesure d’exporter leurs services et produits dans le monde entier, faisant ainsi grandir l’industrie minière canadienne.

« M. Scherkus a, tout au long de sa carrière, su promouvoir, à sa façon, la mission et la vision de l’AMQ et c’est pourquoi nous sommes fiers d’avoir soumis sa candidature au TRSMC. La réputation de M. Scherkus ne connaît pas de frontière. Son engagement et son dévouement seront toujours source d’inspiration pour toute l’industrie et pour une génération de jeunes qui choisiront le secteur minier pour mener leur carrière. Sa longue feuille de route se devait d’être immortalisée au Temple de la renommée du secteur minier canadien. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.