Québec, le 18 décembre 2019 – Bien que l’année 2019 n’ait pas donné lieu à de grands changements dans l’industrie minière, l’Association minière du Québec (AMQ) en dresse un bilan positif, tout en invitant à la prudence pour les années à venir.

L’or au sommet du palmarès

Avec un prix ayant dépassé les 2 000 dollars canadiens en septembre, l’or a une fois de plus performé en 2019, favorisant ainsi l’exploration pour ce métal précieux, qui est encore à ce jour la ressource la plus recherchée au Québec.

Autre fait saillant pour l’or, la mine aurifère Lamaque, de la compagnie Eldorado Gold, a été la seule mine à entrer en production commerciale et à être inaugurée en 2019.

Le secteur du fer a bien tiré son épingle du jeu en 2019, ce qui a entre autres permis à Minerai de fer Québec de poursuivre son développement et d’annoncer des projets d’expansion de la mine du Lac Bloom sur la Côte-Nord.

Les plus

En passant du 6e au 4e rang mondial, le Québec a amélioré son classement dans l’enquête 2019 de l’Institut Fraser sur les meilleures juridictions mondiales où investir. Malgré qu’il fasse globalement bonne figure, les résultats démontrent que pour attirer davantage les investisseurs dans le secteur minier, le Québec doit proposer un régime réglementaire solide, jumelé à des politiques fiscales compétitives. Il s’agit de deux revendications maintes fois adressées au gouvernement par l’AMQ.

L’année 2019 aura aussi permis de confirmer la hausse des investissements miniers au Québec, qui ont atteint 3,26 milliards de dollars. Bien que cette augmentation soit moins importante qu’anticipée, elle confirme que les sociétés minières sont actives ici et qu’elles continuent de contribuer à la prospérité socioéconomique des régions et du Québec.

Sur le plan de la compétitivité, l’AMQ entrevoit d’un bon œil les intentions du gouvernement de réduire les délais administratifs menant à l’obtention des divers permis et autorisations pour opérer et développer les mines. Des signaux clairs sont envoyés par les élus et les hauts fonctionnaires, ce qui permet d’espérer des résultats concrets à moyen terme.

Le désir exprimé par le gouvernement Legault de voir se développer la filière des minéraux stratégiques et critiques est également accueilli positivement par l’Association. Le sous-sol québécois est riche en minéraux stratégiques et critiques nécessaires notamment pour la transition énergétique entamée aux quatre coins du monde et il est clair pour l’AMQ que le Québec doit rapidement emboîter le pas afin de devenir un leader mondial en la matière.

Les moins

L’enjeu du financement de certaines installations minières a aussi marqué 2019 dans l’industrie, ralentissant notamment le développement de filières stratégiques.

La baisse dans les dépenses d’exploration confirmée en 2019 par l’Institut de la statistique du Québec constitue une mauvaise nouvelle, puisque l’exploration est le premier jalon vers la découverte des nouvelles mines. L’Association s’inquiète aussi du faible nombre de projets en construction. Selon elle, il s’agit d’un des indicateurs d’un futur ralentissement. L’arrêt de production annoncé à la mine Langlois de Nyrstar est également venu assombrir le tableau de l’année 2020.

À surveiller en 2020

En 2020, l’AMQ fera paraître sa troisième étude sur les retombées économiques de l’industrie minière au Québec permettant de quantifier l’ampleur de l’impact des sociétés minières pour les régions, mais également pour tout le Québec.

L’Association continuera de suivre l’évolution du développement de divers projets miniers plus avancés, tels que Lac Windfall de Minière Osisko (or), Matawinie de Nouveau Monde Graphite (graphite), Whabouchi de Nemaska Lithium (lithium), Authier de Sayona Québec (lithium), Horne 5 de Ressources Falco (or) et Lac à Paul d’Arianne Phosphate (apatite).

« L’Association minière du Québec dresse un bilan somme toute positif de l’année 2019, alors que des signes encourageants pour l’avenir ont été observés. C’est notamment le cas avec la volonté affirmée et réaffirmée du gouvernement de réduire la lourdeur administrative pour le développement minier. Il est vrai que peu de nouveaux projets sont sur la table à dessin et qu’une seule mine soit entrée en production cette année, mais c’est en mettant en place des conditions propices à l’investissement que nous pourrons stimuler le développement minier et amener les investisseurs à choisir le Québec. »

« L’année 2020 sera intéressante alors que divers projets miniers connaîtront des avancées importantes. Nous continuerons d’être attentifs à la fluctuation des prix des métaux, qui influencent grandement la performance de notre industrie. Nous espérons également que la hausse prévue des investissements miniers se confirmera et que la baisse dans les dépenses d’exploration soit moins importante que ce qui est attendu. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 19 novembre 2019 – L’Association minière du Québec (AMQ) salue la démarche du gouvernement du Québec de lancer une consultation sur la place du Québec dans la mise en valeur des minéraux stratégiques et critiques, visant notamment à développer une filière de la batterie lithium-ion.

Le sous-sol québécois est riche en minéraux stratégiques nécessaires à la transition énergétique entamée aux quatre coins du monde et le Québec doit rapidement emboîter le pas afin de devenir un leader mondial en la matière. La démarche de consultation lancée par le gouvernement du Québec est vue d’un bon œil par l’AMQ qui entrevoit cette première étape comme une bonne façon de prendre le pouls des différentes parties prenantes permettant d’élaborer une stratégie qui réponde réellement aux besoins.

Pour l’Association, si le Québec souhaite devenir un joueur incontournable de l’industrie de la batterie, les différents acteurs devront aussi collaborer ensemble pour créer une véritable filière, de la mine au produit fini, sans oublier le recyclage des batteries en fin de vie.

Même si d’autres juridictions sont mieux positionnées que le Québec pour le moment, il importe de maintenir le cap, puisque selon une étude menée par KPMG pour le compte de Propulsion Québec, les capacités actuellement en production ou annoncées, ne permettront pas de répondre à la forte croissance anticipée pour les batteries des véhicules électriques.

Citations

« Bien que le Québec possède les réserves et les atouts pour mettre en valeur les nouvelles filières stratégiques comme celles du lithium, du graphite et des terres rares, les difficultés liées au financement de certains projets ralentissent leur développement. Il faudra aussi être vigilant en regard des minéraux plus traditionnels, mais indispensables à cette transition énergétique, comme le nickel, pour être en mesure de répondre à la demande anticipée. La stratégie que présentera le gouvernement devra tenir compte de cette réalité. »

« Le Québec est bien positionné pour participer à la transition énergétique. Il reste beaucoup de travail à accomplir, mais nous sentons une réelle volonté du secteur minier, du gouvernement, des chercheurs et d’autres partenaires pour participer à ce mouvement mondial. Si les principaux constructeurs de véhicules électriques souhaitent, de leur côté, compter sur un approvisionnement responsable en minéraux stratégiques, le Québec devient un choix logique, de par les façons de faire de l’industrie minière d’ici et par la présence de sources d’énergie propre et renouvelable. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 14 novembre 2019 – Alors qu’il prévoyait des investissements miniers à la hauteur de 3,57 milliards de dollars en 2018, l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) rapporte plutôt qu’ils ont atteint 3,26 milliards, en hausse de 7 % par rapport à 2017. Pour l’Association minière du Québec (AMQ), cette hausse démontre que les sociétés minières demeurent très actives au Québec, tout en rappelant l’importance de soutenir le développement minier pour que ces importants investissements continuent de progresser pour faire prospérer le Québec et les régions. L’AMQ s’inquiète toutefois de la baisse survenue dans les dépenses d’exploration et de la prévision de l’ISQ que celle-ci se poursuivra en 2019.

Le Nord-du-Québec et l’Abitibi-Témiscamingue dominent

C’est la région du Nord-du-Québec qui a récolté la plus importante part des investissements (1,31 G$), suivie de près par l’Abitibi-Témiscamingue (1,19 G$). Ceci s’explique principalement par les investissements effectués pour l’extension de la mine Canadian Malartic et le développement des projets Lac Windfall de Minière Osisko et Whabouchi de Nemaska Lithium.

Avec ses 600 millions de dollars en investissements, la Côte-Nord occupe le troisième rang. Les investissements effectués par Minerai de fer Québec dans la relance de la mine du Lac Bloom sont grandement responsables de cette performance.

L’exploration en baisse

La confirmation de la baisse dans les dépenses d’exploration, qui devrait se poursuivre en 2019, est la mauvaise nouvelle de cette étude de l’ISQ. Bien que cette baisse soit faible (-1,6 %) entre 2017 et 2018, la tendance ira en s’accélérant en 2019 selon l’Institut (- 9,3 %).

L’Association s’inquiète du faible nombre de projets en construction. Selon elle, il s’agit d’un des indicateurs d’un futur ralentissement.

Citations

« L’industrie minière du Québec est un vecteur majeur de prospérité socioéconomique. Lorsque l’industrie minière est en santé, ce sont certes les régions minières qui en profitent, mais également tout le Québec. Bien que les filières traditionnelles comme l’or et le fer performent bien, on remarque un ralentissement dans d’autres, tel le lithium. Il importe donc d’appuyer chacune d’elles pour nous assurer un développement minier structurant et qui sera prêt à affronter un cycle baissier, le cas échéant. »

« Lorsque l’exploration diminue, ce sont les chances de faire de nouvelles découvertes qui se voient amenuisées. Bien que non dramatique à ce stade, il sera essentiel de garder l’œil ouvert sur la tendance baissière afin de soutenir davantage les activités d’exploration au besoin. Il en va de la pérennité de l’industrie minière au Québec. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’Association minière du Québec

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 16 octobre 2019 – C’est avec beaucoup de fierté que l’Association minière a vu ses membres dominer au gala des Prix Créateurs d’emplois du Québec 2019. Trois d’entre eux, soit Eldorado Gold Lamaque, Minerai de fer Québec et Mine Raglan, une compagnie Glencore, se sont vus sacrés champions dans leur région respective pour leur performance remarquable quant au nombre d’emplois créés ou maintenus.

Aucune autre industrie ne s’est autant démarquée que l’industrie minière lors de cette troisième édition. Cette reconnaissance est une autre preuve que le secteur minier contribue concrètement à la vitalité économique des régions. Ce sont 40 540 emplois directs, indirects et induits qui sont générés ou maintenus par l’industrie minière au Québec.

Rappelons que les Prix Créateurs d’emplois, une initiative de Fondaction, de la Corporation des parcs industriels du Québec et du Conseil du patronat du Québec, ont été créés pour souligner l’apport important des créateurs d’emplois pour le développement du Québec et de ses régions.

Citations

« Présents sur tout le territoire québécois, incluant les grands centres urbains, les travailleurs du secteur minier constituent une réelle force pour bâtir un Québec prospère. Que des organismes externes au secteur minier reconnaissent cette contribution ajoute à la fierté ressentie lors de la remise des prix. »

« L’AMQ est fière de pouvoir compter des entreprises comme celles-ci parmi ses membres. En fournissant des emplois de qualité, notamment au sein des communautés locales, les mines du Québec font une différence pour la vitalité socioéconomique des régions. »
– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 17 septembre 2019 – C’est à Rouyn-Noranda que se tient la 55e édition du colloque en santé et sécurité du travail de l’Association minière du Québec (AMQ), rassemblant plus de 300 gestionnaires et superviseurs du secteur minier québécois. Ce colloque, qui rend possibles des discussions sur les meilleures pratiques, est un incontournable de l’industrie minière en matière de santé et de sécurité.

Chaque année, la programmation est composée de conférences variées touchant des enjeux d’actualité permettant aux participants de repartir du colloque avec des pistes de réflexion et des idées d’actions à mettre en place au sein de leur entreprise. Cet événement permet également de récompenser le travail de ceux qui se sont démarqués dans leur performance en santé et sécurité tout au long de l’année. Près de 150 prix sont remis pour souligner les efforts déployés en prévention.

Citations

« La SST étant une priorité de tous les instants dans notre industrie et à l’Association. Je dirais même plus. C’est une valeur profondément ancrée. C’est pour cette raison qu’il est important d’offrir à nos membres des occasions comme celle-ci de se réunir et échanger sur les bonnes pratiques. »

« Notre objectif est de faire en sorte que la SST dépasse le simple stade technique pour l’amener à un niveau de réflexion plus stratégique afin qu’elle soit davantage intégrée dans toutes les sphères des opérations; que ça devienne un réflexe pour tous. C’est dans ce sens que nous travaillons. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que de fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 45 550 emplois et des dépenses totales de près de six milliards de dollars que génère l’industrie minière au Québec, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 22 août 2019 – L’Association minière du Québec (AMQ) est heureuse d’assister à l’inauguration de la station Les marais épurateurs du Parcours des phytotechnologies au Jardin botanique de Montréal. La contribution financière significative donnée par l’AMQ à la Fondation Espace pour la vie a permis la réalisation de cette première station du parcours éducatif.

Les phytotechnologies qui seront présentées tout au long du parcours sont des technologies vertes et innovantes qui consistent à résoudre les divers enjeux environnementaux de façon naturelle, c’est-à-dire à l’aide des propriétés fondamentales des plantes. Plus précisément, la station des marais épurateurs présente un véritable jardin aquatique composé de deux marais filtrants. Ces derniers utilisent les facultés épuratoires des plantes aquatiques et de leur milieu pour assainir l’eau.

Dans l’industrie minière québécoise, des solutions semblables sont déjà mises en place, par exemple en revégétalisant des sites miniers en fin de vie. Le soutien financier de l’AMQ, totalisant 100 000 dollars, encourage ainsi les nouvelles façons de faire plus respectueuses de l’environnement et traduit l’engagement du secteur minier québécois envers le développement durable du Québec.

Le public est donc invité à venir visiter cette première station du parcours afin de découvrir une alternative naturelle et hautement performante de purification d’eau de plus en plus reproduite au sein de l’industrie québécoise.

Citation

« L’utilisation de végétaux dans les travaux de restauration des parcs à résidus miniers est courante, mais pourrait également être utilisée à d’autres fins dans le cadre des travaux de restauration complète du site minier. C’est pourquoi le partenariat entre l’Association minière du Québec et la Fondation Espace pour la vie était tout naturel afin d’appuyer la réalisation du Parcours des phytotechnologies du Jardin botanique de Montréal. »
– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ
Québec, le 22 août 2019 – L’Association minière du Québec (AMQ) est heureuse d’assister à l’inauguration de la station Les marais épurateurs du Parcours des phytotechnologies au Jardin botanique de Montréal. La contribution financière significative donnée par l’AMQ à la Fondation Espace pour la vie a permis la réalisation de cette première station du parcours éducatif.

Les phytotechnologies qui seront présentées tout au long du parcours sont des technologies vertes et innovantes qui consistent à résoudre les divers enjeux environnementaux de façon naturelle, c’est-à-dire à l’aide des propriétés fondamentales des plantes. Plus précisément, la station des marais épurateurs présente un véritable jardin aquatique composé de deux marais filtrants. Ces derniers utilisent les facultés épuratoires des plantes aquatiques et de leur milieu pour assainir l’eau.

Dans l’industrie minière québécoise, des solutions semblables sont déjà mises en place, par exemple en revégétalisant des sites miniers en fin de vie. Le soutien financier de l’AMQ, totalisant 100 000 dollars, encourage ainsi les nouvelles façons de faire plus respectueuses de l’environnement et traduit l’engagement du secteur minier québécois envers le développement durable du Québec.

Le public est donc invité à venir visiter cette première station du parcours afin de découvrir une alternative naturelle et hautement performante de purification d’eau de plus en plus reproduite au sein de l’industrie québécoise.

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Nous partageons ce billet publié par Mines Agnico Eagle.

Bien qu’à l’échelle mondiale, la main-d’œuvre dans l’industrie minière soit encore largement dominée par les hommes4, Agnico Eagle s’efforce de renverser cette tendance.

Notre objectif est de favoriser un milieu de travail plus diversifié et inclusif pour les femmes et les personnes d’origines différentes, un milieu qui reflète nos collectivités d’accueil.

Cela signifie diversifier nos programmes de sensibilisation, de formation et de mentorat – le tout dans le but d’attirer, de fidéliser et de perfectionner l’un des effectifs les plus qualifiés de l’industrie minière.

En 2018, Agnico Eagle est devenue un parrain fondateur du Programme de mentorat international pour les femmes dans le secteur des ressources naturelles, conçu pour mettre en contact des dirigeantes influentes d’expérience qui oeuvrent partout dans le monde avec des mentorées, et ce, dans un large éventail de professions et de métiers tels que ingénieures des mines, métallurgistes, géologues d’exploration et plus encore. Le groupe inaugural comptait 42 femmes, dont Véronique Tremblay, métallurgiste à notre complexe LaRonde, qui a participé à ce programme d’une durée de six mois. Elle a eu comme mentore Marnie Finlayson, responsable de l’empreinte mondiale à Rio Tinto, à Perth, en Australie.

« Je pense que tout le monde peut bénéficier d’un mentor qui est là pour vous aider et vous donner de bons conseils. Mais le fait que ce programme s’adresse spécifiquement aux femmes est également formidable, car je n’ai pas beaucoup de femmes à qui parler dans mon milieu de travail. Je travaille avec des gens formidables, mais dans un secteur toujours dominé par les hommes. Mes discussions avec Marnie portent surtout sur mes objectifs de carrière, ma confiance en moi et mes aptitudes au leadership. Elle m’apprend également à prendre la parole et à partager mes opinions et réflexions sur nos projets et nos activités. »

Également sur la scène internationale, Agnico Eagle a commandité la première équipe de sauvetage minier entièrement féminine, dont faisaient partie deux de nos collègues, à participer à la compétition internationale de sauvetage minier tenue en septembre dernier en Russie.

Connue sous le nom des diamants bruts (« Diamonds in the Rough »), l’équipe entièrement canadienne comprenait Fanny Laporte, technicienne en environnement à la mine Meadowbank et vice-capitaine et pompier de l’équipe, et Janie Blanchette, conseillère en santé, sécurité et mesures d’urgence à la mine Goldex et responsable médical officielle de l’équipe. L’équipe a concouru dans sept catégories, y compris un scénario se déroulant sous terre, une épreuve de lutte contre un incendie, l’administration de premiers soins, un examen écrit et une course à relais de sauvetage minier.

Janie fait remarquer : « C’était excitant de compétitionner à ce niveau et de célébrer tout ce que les femmes peuvent accomplir. En fait, bon nombre de nos concurrents nous ont dit que nous étions une source d’inspiration et qu’ils allaient rentrer chez eux pour encourager leurs filles à envisager un emploi dans l’industrie minière. Je pense que c’est pour cela que nous avons reçu une ovation debout. Ils ont voulu nous dire que la diversité est bienvenue dans l’industrie minière à l’échelle mondiale. »

Plus près de chez nous, à notre projet Meliadine et à la mine Meadowbank, nous encourageons les femmes à suivre des cours de formation qui leur permettront d’occuper des postes dans la conduite d’équipement lourd et dans les procédés miniers.Au projet Meliadine, Angela Misheralak et Gloria Kaludjak sont devenues les premières Inuites à terminer leur formation, sur la chargeuse de 11 verges pour la première, et sur le camion lourd de 50 tonnes pour la deuxième. Elles mettent maintenant en pratique les compétences nouvellement acquises pour faire fonctionner ces équipements. À la mine Meadowbank, Natasha Nagyougalik, une mère monoparentale qui ne manque ni d’énergie ni d’ambition, est devenue la première Inuite qualifiée pour conduire notre plus gros engin minier, la pelle minière hydraulique CAT 6030.

Louise Grondin, vice-présidente principale, Environnement, Développement durable et Ressources humaines à Agnico Eagle affirme : « Nous encourageons tous nos employés à contribuer à la réalisation de leur plein potentiel et nous voulons qu’ils aient un accès égal aux possibilités d’emploi et à la reconnaissance. Nous souscrivons pleinement à la diversité et à l’inclusion, des valeurs essentielles à notre succès et à nos plans de croissance futurs. »

4. Selon le Conseil des ressources humaines de l’industrie minière, en 2016, les femmes occupaient 16 % des emplois dans l’industrie minière, comparativement à 48 % dans l’ensemble des industries.

Québec, le 26 juin 2019 – C’est avec grande fierté que l’Association minière du Québec (AMQ) souligne l’ouverture officielle de la mine Lamaque d’Eldorado Gold, située à Val d’Or. Il s’agit de la première mine d’or à être inaugurée au Québec depuis 2015.

Déjà très implantée dans son milieu, Eldorado Gold Lamaque a su s’intégrer au tissu socio-économique de Val-d’Or et de l’Abitibi-Témiscamingue dès les premiers instants, favorisant ainsi son acceptabilité par le milieu. Il s’agit, pour l’AMQ, d’un beau succès en matière de bonnes pratiques dans le développement d’un important projet industriel.

Les efforts de l’entreprise pour développer une mine de façon responsable n’ont pas tardé à être récompensés alors qu’Eldorado Gold Lamaque a reçu en 2018 le trophée F.J. O’Connell de l’AMQ, notamment pour ses performances en santé et sécurité du travail. Elle s’est également vu remettre le prix dans la catégorie « Engagement dans la collectivité » par la Fédération des chambres de commerce au gala Les Mercuriades 2019.

Ce sont 289 millions de dollars qui ont été investis par Eldorado Gold Lamaque depuis le début du développement de son projet. La mine emploie actuellement près de 400 travailleurs.

L’Association minière du Québec félicite toute l’équipe qui a rendu cette inauguration possible et souhaite longue vie à la mine Lamaque.

Citations

« Ce n’est pas tous les jours que nous pouvons assister à l’inauguration d’une nouvelle mine. C’est un grand jour pour l’Abitibi-Témiscamingue, mais aussi pour l’ensemble du Québec qui pourra profiter des retombées économiques majeures de cette mine d’or. »

« Quand on sait qu’on doit compter une dizaine d’années, parfois quinze, entre le moment d’une découverte minérale et la mise en production d’une mine, on comprend le caractère exceptionnel de cette journée. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ

Québec, le 14 juin 2019 – L’Association minière du Québec (AMQ) est fière de présenter la composition de son nouveau conseil d’administration à la suite de sa récente assemblée générale annuelle. Ce conseil allie l’expérience au renouveau afin de préparer l’avenir de l’AMQ. Il sera dirigé pour un troisième mandat par Jean-François Verret, directeur, Projets, Géologie et Exploration de Mine Raglan, une compagnie Glencore.

Forte de la grande implication de ses membres, l’Association a su attirer des gens d’expérience sur son conseil, en plus de maintenir en poste des gens crédibles aux expertises variées.

Six nouveaux membres font leur entrée au conseil d’administration, eux qui pourront faire profiter l’Association de leurs compétences dans des domaines variés en lien avec les enjeux futurs de l’industrie minière. L’Association pourra également compter sur un comité exécutif renouvelé composé de trois femmes et deux hommes, sur lequel siège entre autres Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ.

Composition du conseil d’administration

*Nouveaux membres
**Membre du comité exécutif

Jean-François Verret**
Président du conseil  Mine Raglan, une compagnie Glencore – Secteur autre que le fer et l’or
Vanessa Laplante**
Vice-présidente du conseil
Trésorière Canadian Malartic G.P. –  Or
Alexandre Belleau**
Secrétaire du conseil Minerai de Fer Québec – Fer
Sophie Bergeron** Newmont Goldcorp – Éléonore – Or
Marc Bédard* Glencore – Traitement de minerai ou d’affinage de métaux
Hélène Cartier* Ressources Falco – Explorateurs, projets miniers en développement et mines en processus de fermeture définitive
Nicolas Dalmau ArcelorMittal Exploitation minière Canada – Fer
Jean-Baptiste Dromer* K+S Sel Windsor – Secteurs autres que le fer et l’or
Hélène Lauzon Conseil patronal de l’environnement du Québec – Membre observatrice
Jean-Marc Lulin* Exploration Azimut – Membre observateur
Daniel Paré* Mines Agnico Eagle – Or
Jean Quenneville Rio Tinto – Fer
Patrick Sévigny Stornoway Diamond Corporation – Secteurs autres que le fer et l’or
Stéphane Ste-Croix IAMGOLD Corporation – Or
Guy Tremblay* Groupe minier CMAC-THYSSEN – Entrepreneurs miniers
Isabelle Verreault Hill+Knowlton Stratégies – Membre observatrice

L’AMQ tient également à remercier Christian Provencher (Mines Agnico Eagle), Olivier Berman (Mines Seleine, K+S Sel Windsor), Luc Guimond (Groupe minier CMAC-THYSSEN), Claude Bélanger (Fonderie Horne, une compagnie Glencore) et André Gaumond (Redevances Aurifères Osisko), administrateurs sortants, de leur implication au conseil d’administration.

Citations

« Ce nouveau conseil représente bien ce qu’est l’industrie minière québécoise : un merveilleux mélange d’expérience et de relève avec une présence féminine accrue. Nous sommes fiers d’avoir su réunir des gens de talent qui collaboreront à élaborer le prochain plan stratégique de l’AMQ afin d’assurer la pérennité des activités minières au Québec. Je tiens à remercier les membres sortants pour le travail colossal accompli au cours des dernières années. Ils peuvent être fiers de leur bilan. »

– Jean-François Verret, président du conseil d’administration de l’AMQ

« C’est avec grand enthousiasme que j’aborde ce nouveau chapitre de l’Association avec des gens expérimentés prêts à relever les défis qui se présenteront. Nous avons accompli de grandes choses dans le passé et je suis convaincue que nous saurons bâtir sur ces solides fondations. Nous continuerons de soutenir les sociétés minières actives au Québec afin que se maintienne un développement minier fort. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 40 540 emplois et des dépenses totales de 8,5 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec au cours de la dernière année, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.