OLIVIER HAMEL, INGÉNIEUR JUNIOR EN PROJETS ET EN ANALYSE DE PERFORMANCE
MINE CANADIAN MALARTIC
RÉALISER SON RÊVE D’ENFANT
Enfant, Olivier Hamel se promenait en véhicule tout terrain et observait les anciennes exploitations minières de son Thetford Mines natal. Et il rêvait… Il se voyait conduisant des équipements que ses yeux d’enfants percevaient tellement grands! Il s’échafaudait des scénarios dans lesquels il relevait toutes sortes de défis liés à l’industrie minière. Pour lui, c’était un monde fascinant. Un jour, se disait-il…
Voilà, à 22 ans seulement, Olivier Hamel est maintenant ingénieur junior en projets et en analyse de performance pour Mine Canadian Malartic (MCM), une des plus grandes mines d’or à ciel ouvert en opération au Canada. Sa fascination de jeune garçon pour la taille de cette industrie et de ses équipements motorisés est aujourd’hui une réalité bien à sa mesure. « Une mine comme MCM, c’est gros, mais c’est surtout plein de défis. J’adore ça ! », dit-il une lueur dans les yeux. « Ça comprend l’apprentissage de la profession d’ingénieur des mines, le travail d’équipe, la camaraderie et l’entraide. Et, comme ingénieur junior, je touche à tout pendant ma formation. Quel plaisir! » s’exclame-t-il.
Déterminé, Olivier s’est inscrit en génie des mines et de la minéralurgie à l’Université Laval après son passage au cégep. Le voici maintenant les deux pieds ancrés solidement dans une exploitation minière d’envergure. Il apprend à devenir un ingénieur minier sous la supervision d’un parrain dans un contexte où MCM offre un programme interne de développement des ingénieurs juniors. Elle offre ainsi à Olivier la possibilité de faire des stages afin de se familiariser avec plusieurs aspects de l’exploitation d’une mine : planification, opérations minières, forage/sautage et géotechnique. « Mine Canadian Malartic m’offre cette chance. Au terme de cette expérience, je serai en mesure de choisir le secteur qui m’intéresse le plus », dit-il. Déjà, Olivier confie qu’il éprouve une préférence pour les opérations minières.
S’ennuie-t-il des membres de sa famille demeurée à Thetford Mines? « Je vais les voir tous les mois », dit-il. Et que pensent-ils de son choix de travailler dans les mines? « Ils sont très curieux, explique-t-il. Ils me posent beaucoup de questions sur mon travail et sur l’exploitation minière. À moi de trouver les mots qui évoqueront quelque chose de tangible pour eux. »
De retour à Malartic, Olivier retrouve ses collègues de travail avec qui il joue au soccer. Il se replonge dans la nature abondante de la région qui lui permet de faire toutes sortes d’activités sportives. Son rêve d’enfant est bel et bien devenu réalité.