Québec, le 18 mars 2021 – L’Association minière du Québec (AMQ) salue la contribution financière de 1,3 million de dollars versée au Groupe MISA par le gouvernement du Québec pour la concrétisation du projet Mission Mines Autonomes 2030 qui vise à mobiliser les entreprises minières et les partenaires de l’industrie pour poursuivre les efforts vers la mine intelligente et autonome.

Bien que la transition numérique de l’industrie minière québécoise soit déjà amorcée, il reste encore du chemin à parcourir et il ne fait aucun doute que cette mise en commun des forces de chacun contribuera à accélérer le processus. En intégrant toujours plus de nouvelles technologies et en misant sur l’automatisation, la numérisation et l’intelligence artificielle, les sociétés minières verront assurément leur productivité et leur compétitivité augmenter, et ce, en offrant des milieux de travail toujours plus sécuritaires.

L’Association minière du Québec souhaite le meilleur des succès aux partenaires de ce projet et souligne l’engagement et la mobilisation qui démontrent une fois de plus la solidarité de l’industrie minière québécoise afin de figurer parmi les meilleurs au monde.

« Les mines québécoises sont bel et bien engagées dans la transition numérique. En effet, des camions autonomes se déplacent déjà dans nos mines québécoises, des équipements sont opérés à distance et une foule d’autres innovations technologiques se déploient afin de maximiser les procédés et augmenter la performance et la compétitivité; tout en assurant une plus grande sécurité des travailleurs. Nous sommes convaincus que Mission Mines Autonomes 2030 permettra d’accélérer le processus et d’aller encore plus loin. Il s’agit d’un projet prometteur pour l’avenir de notre industrie. »

« L’AMQ prône la mobilisation des forces en présence et le travail d’équipe afin de tirer profits des opportunités. En octroyant cette contribution financière, le gouvernement confirme son engagement envers une industrie minière moderne, créatrice de prospérité et qui fait la fierté des Québécois. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018 (données les plus récentes disponibles), l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer de façon proactive une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 4 mars 2021 – Avec des droits miniers versés au gouvernement du Québec qui ont frôlé les 400 millions de dollars en 2019, l’industrie minière québécoise démontre une fois de plus son apport considérable à la prospérité socio-économique de la province. Pour l’Association minière du Québec (AMQ), cette augmentation de 37 % entre 2018 et 2019 témoigne du dynamisme des sociétés minières actives au Québec.

Ce montant record de droits miniers versés au gouvernement n’est pas sans rappeler la contribution totale de l’industrie au trésor public québécois qui se chiffre à plus de 1,3 milliard de dollars, et ce, sans compter l’impôt sur les sociétés.

Cela s’ajoute aux dépenses de près de 10 milliards de dollars effectuées en 2018 (données les plus récentes disponibles) sur tout le territoire québécois, à la création et le maintien de plus de 48 000 emplois partout au Québec, à une masse salariale qui atteint 1,8 milliard de dollars et aux contributions faites dans les communautés pour soutenir des initiatives locales.

« Les Québécois peuvent être fiers de leur industrie minière et de son apport à la prospérité économique et sociale de la province. Nul doute que le secteur minier est plus que jamais un joueur incontournable de création de richesse. L’industrie minière sera donc un partenaire de premier plan pour assurer la relance économique postpandémie. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018 (données les plus récentes disponibles), l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer de façon proactive une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 25 février 2021 – Le Québec a reçu une bonne nouvelle de l’Institut Fraser alors qu’il se classe au 6e rang mondial (2e au Canada) dans l’enquête annuelle sur l’attractivité des juridictions minières en regard de l’investissement en exploration. Ce gain de douze positions par rapport à l’an dernier réjouit l’Association minière du Québec (AMQ) qui constate toutefois que beaucoup de chemin reste à parcourir pour atteindre la première position occupée par le Québec de 2007 à 2010.

Ce passage de la 18e à la 6e position envoie le signal que le Québec est une terre propice pour attirer les investissements en exploration. L’AMQ accueille cela avec enthousiasme, elle qui espère que les investissements en exploration se traduiront en nouvelles mines au cours des prochaines années.

Bien que le Québec affiche une bonne performance globale, une analyse plus détaillée des résultats démontre qu’il y a place à l’amélioration sur plusieurs des aspects sondés. En effet, entre l’enquête publiée en 2020 et celle de 2021, la province a reculé sur plusieurs fronts, dont :

• L’incertitude concernant les aires protégées (27e en 2020 à 35e en 2021);
• L’incertitude sur les revendications territoriales (18e en 2020 à 42e en 2021);
• La performance de son régime fiscal (26e en 2020 à 27e en 2021);
• La qualité de sa base de données géologiques (7e en 2020 à 18e en 2021).

La fin de l’incertitude en regard de la réglementation environnementale a été payante pour le Québec alors qu’à ce chapitre, il est passé de la 41e position en 2020 à la 18e en 2021. La réduction de l’incertitude concernant l’administration, l’interprétation et l’application de la réglementation existante a quant à elle permis au Québec de se classer au 18e rang, alors qu’il occupait la 28e place en 2020.

Parmi les juridictions canadiennes, seule la Saskatchewan performe mieux que le Québec en occupant le 3e rang à l’échelle internationale (1re au Canada).

« Il s’agit là d’une bonne nouvelle pour le secteur minier en ce sens qu’il permet de tourner vers le Québec les projecteurs des investisseurs. Ce qu’il faut maintenant espérer, c’est que les projets d’exploration se concrétisent et fassent place par la suite à de nouvelles mines. Il est là le nerf de la guerre. Oui, il faut plus d’exploration et d’investissements, mais ultimement, ce que nous voulons, c’est plus de mines en opération. C’est le seul moyen d’assurer la pérennité de notre industrie. »

« Malheureusement, peu de mines sont entrées en production au cours des dernières années. Il importe donc de s’attaquer aux faiblesses du Québec pour stimuler le développement de nouveaux sites miniers. Comme plusieurs des endroits où le Québec performe moins bien relèvent de sa compétence, le gouvernement du Québec doit continuer à mettre en place les conditions favorables au développement minier. Les intentions sont bien présentes et de beaux résultats se font sentir. Mais on doit faire mieux, dès maintenant. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018 (données les plus récentes disponibles), l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer de façon proactive une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 12 février 2021 – Alors que très peu de projets miniers sont présentement en cours de développement au Québec, l’Association minière du Québec (AMQ) qualifie de grand jour pour l’industrie minière et le Québec l’annonce du financement pour la construction de la mine Odyssey de Canadian Malartic en Abitibi-Témiscamingue.

Avec des investissements de 1,7 milliard de dollars sur sept ans, une durée d’exploitation de la mine prévue jusqu’en 2039 et près de 1 500 emplois créés au plus fort de l’activité en 2031, nul doute que la mine Odyssey constituera un projet phare pour l’économie du Québec.

Bien que des autorisations doivent être reçues du gouvernement du Québec avant de pouvoir amorcer toutes les phases, l’AMQ se réjouit de voir que Mines Agnico Eagle et Yamana Gold aient placé leur confiance dans ce projet.

« Quelle belle façon de débuter l’année! La construction d’une nouvelle mine est toujours un moment spécial dans le secteur minier. Nous nous réjouissons que des joueurs majeurs de l’industrie décident d’aller de l’avant avec ce projet porteur et développé par une compagnie responsable, près des gens et soucieuse des préoccupations du milieu. C’est une excellente nouvelle pour Malartic, pour l’Abitibi-Témiscamingue et pour le Québec en entier. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018 (données les plus récentes disponibles), l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer de façon proactive une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 6 janvier 2021 – L’Association minière du Québec accueille avec soulagement l’annonce de la poursuite des opérations minières, malgré le confinement total décrété par le gouvernement, résultat de la robustesse des mesures que l’industrie minière a déployées pour limiter la propagation de la COVID-19 sur les sites miniers.

La santé et la sécurité du travail (SST) faisant partie de leur ADN, depuis le printemps, les sociétés minières exercent des contrôles à l’entrée des sites, ou même avant, pour limiter les risques de propagation du virus. Certaines entreprises possèdent également leur propre laboratoire pour mener des tests de dépistage.

Rien n’a été laissé au hasard dans l’industrie minière et en permettant aux mines de poursuivre leur production, le gouvernement reconnaît que les actions prises par l’industrie ont porté leurs fruits, comme en témoigne le nombre minime de cas au sein des équipes de travail du secteur minier.

L’industrie minière a toujours été présente pour assurer la prospérité socioéconomique du Québec et des régions. C’est pourquoi le gouvernement l’a d’ailleurs identifiée parmi les secteurs clés pour préparer la relance économique. Cette décision gouvernementale de maintenir les activités minières est donc cohérente avec ce plan de relance qui mise notamment sur l’électrification des transports et la deuxième et troisième transformation des ressources minérales. La poursuite des opérations minières est également en droite ligne avec le déploiement du plan d’action nordique récemment dévoilé par le gouvernement qui vise notamment à créer de l’emploi en région éloignée.

L’industrie minière pourra également maintenir sa compétitivité en regard des autres juridictions où la production se poursuit et ainsi répondre aux besoins des différentes chaines d’approvisionnement, notamment pour la production d’équipements médicaux.

« Nous comprenons que la santé et la sécurité de la population doivent primer. C’est pourquoi l’industrie minière a pris la question très au sérieux dès le printemps. Jamais les aspects économiques ne prendront le dessus sur la santé et la sécurité et aucun compromis ne sera fait sur cet aspect. Les résultats des mesures mises en place parlent d’eux-mêmes : il est possible d’opérer nos mines de façon sécuritaire. Par sa décision de maintenir les activités minières, le gouvernement arrive à la même conclusion et c’est rassurant pour notre industrie et l’économie de plusieurs régions. »

« Cette décision est cohérente avec tous les discours du gouvernement à l’effet que le secteur minier sera une des pierres angulaires de la relance économique de la province. » 

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018 (données les plus récentes disponibles), l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer de façon proactive une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 16 décembre 2020 – L’année 2020 aura apporté son lot de défis. L’Association minière du Québec dresse toutefois un bilan somme toute positif d’une année hors-norme.

Mars-avril

Après le choc causé par la COVID-19, est venue une démonstration de solidarité, de leadership et de résilience de tous les acteurs de l’industrie minière. Chacun a mis l’épaule à la roue pour proposer sans délai des mesures sanitaires et de contrôle visant à limiter au minimum la propagation du virus sur les sites miniers. Le gouvernement du Québec a reconnu la rigueur des mesures et autorisé rapidement la reprise des activités minières. Force est de constater que les efforts ont porté leurs fruits, puisque peu de cas ont été enregistrés chez les travailleurs du secteur minier. Jamais les aspects économiques ne prendront le dessus sur la santé et la sécurité et c’est pourquoi les sociétés minières continuent de maintenir un haut niveau de vigilance.

Août

Le prix de l’or a atteint un sommet historique à 2 740 dollars canadiens l’once. Nul doute que cela a permis d’éponger certaines pertes liées à la COVID-19 par l’arrêt des opérations, mais également en raison de l’instauration de mesures sanitaires et de contrôle strictes. Pour les mines en opération, l’AMQ estime à plus de 550 millions de dollars les coûts supplémentaires et les pertes occasionnées par les trois semaines d’arrêt du printemps.

Octobre

Le gouvernement du Québec a dévoilé son plan de valorisation des minéraux critiques et stratégiques pour lequel l’industrie minière québécoise sera appelée à jouer un rôle de premier plan, notamment en fournissant les métaux et minéraux nécessaires à l’électrification des transports et à la transition énergétique. Pour l’AMQ, le message qu’envoie le gouvernement positionne le secteur minier comme une réelle solution aux enjeux climatiques et comme une source d’enrichissement à fort potentiel pour le Québec.

L’Association a publié sa plus récente étude sur les retombées économiques de l’industrie minière au Québec dans laquelle on constate une fois de plus la position de l’Abitibi Témiscamingue comme région minière numéro un. Sur près de 10 milliards de dollars dépensés sur tout le territoire québécois, l’Abitibi-Témiscamingue récolte 3,44 milliards de dollars, alors que la région de Montréal figure au troisième rang avec 1,2 milliard de dollars.

Décembre

Le prix du fer s’est aussi très bien comporté en 2020, alors qu’il a atteint sa plus haute valeur en sept ans à plus de 150 dollars américains la tonne. Cela laisse présager un avenir prometteur pour le développement minier de la Côte-Nord où des entreprises comme Minerai de fer Québec ont annoncé leurs intentions d’agrandir leur site minier.

Des déceptions

Malgré de bonnes nouvelles, 2020 aura aussi apporté son lot de déceptions. C’est le cas avec l’expulsion du Top 10 du Québec dans le classement de l’Institut Fraser sur les meilleures juridictions mondiales où investir. En passant du 4e au 18e rang mondial, le Québec a affiché son pire résultat depuis 2014, signe que l’incertitude qui a régné au cours des dernières années rebute les investisseurs. Ce n’est rien d’encourageant pour l’avenir.

Autre déception : la confirmation, en décembre, par l’Institut de la statistique du Québec de la baisse des investissements miniers en 2019. Contrairement à la hausse prévue de 400 millions de dollars, le Québec a enregistré une baisse de près de 300 millions pour atteindre 2,98 milliards de dollars. En raison de son impact sur la pérennité de l’industrie, l’AMQ s’inquiète de cette baisse des investissements dans les mines du Québec, qui devrait s’être poursuivie en 2020.

À quoi s’attendre de 2021

En 2021, outre les prix de la ressource, il sera intéressant de voir comment le Québec tirera son épingle du jeu dans la mise en valeur des minéraux critiques et stratégiques. Le projet de Nouveau Monde Graphite continuera d’attirer l’attention, comme le développement de la filière du lithium avec notamment la restructuration chez Nemaska Lithium. La reprise des activités à la mine Renard de Stornoway Diamonds a constitué une bonne nouvelle en septembre. Avec un plan de relance crédible et un marché du diamant plus favorable, il sera intéressant de suivre la progression de cette première mine de diamant québécoise.

Avec la pandémie qui pourrait bientôt tirer à sa fin, nul doute que les mines québécoises joueront un rôle clé dans la relance économique de plusieurs régions et du Québec en entier.

« C’est toute une année qui se termine. Le secteur minier du Québec peut s’enorgueillir de s’en être tiré sans trop d’égratignures grâce à l’engagement de ses travailleurs et à des mesures sanitaires et de contrôle sans compromis. L’industrie minière a été décrétée comme essentielle par le gouvernement du Québec et elle a pris ses responsabilités afin de mener ses activités de façon sécuritaire. Nous pouvons être fiers de nos résultats. »

« La bonne performance des prix de plusieurs métaux a aidé à maintenir forte l’activité minière au Québec. Toutefois, il sera important d’inverser la tendance baissière dans les investissements et les dépenses d’exploration si on veut maintenir au Québec une industrie minière prospère et pérenne. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018 (données les plus récentes disponibles), l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer de façon proactive une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 7 décembre 2020 – Pour l’Association minière du Québec (AMQ), le développement du Nord passe par un secteur minier fort et compétitif. Le gouvernement du Québec devra en tenir compte dans le déploiement de son Plan d’action nordique.

L’AMQ adhère à la vision du gouvernement d’habiter davantage le Nord, en le dotant notamment de solides infrastructures de transport et de communications. C’est essentiel aussi pour que l’industrie minière continue de contribuer à la vitalité socio-économique de la région par des emplois de qualité, des conditions de travail parmi les meilleures au Québec et des partenariats constructifs avec les communautés locales.

Les besoins de main-d’œuvre dans le secteur minier nécessitent le recours au navettage aéroporté (fly in / fly out). La préoccupation envers l’embauche locale étant fortement ancrée chez les sociétés minières, si le Plan d’action nordique permet d’attirer et de former encore plus de travailleurs qualifiés dans le Nord, il ne fait aucun doute que l’industrie minière se tournera vers eux.

« Ce sont près de 7 500 emplois directs qu’offrent actuellement les mines sur le territoire du Nord québécois à un salaire annuel moyen de 104 000 dollars. Avec les prix du fer et de l’or qui se maintiennent à un niveau élevé, des projets d’agrandissements prometteurs et un engouement pour les minéraux critiques et stratégiques (MCS), le territoire du Plan Nord continuera de prospérer grâce à l’industrie minière. »

« L’Association voit d’un bon œil les actions pour doter le Nord d’infrastructures fiables et modernes. L’objectif de brancher le Nord accélérera le déploiement de l’automatisation dans nos mines. C’est une bonne nouvelle, puisque cela améliorera leur compétitivité. Même chose pour les infrastructures de transport, essentielles à la bonne marche des opérations. Le gouvernement se fixe les bonnes cibles et nous l’accompagnerons pour faire de ce plan un succès. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018 (données les plus récentes disponibles), l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise responsable, engagée et innovante.

Québec, le 29 octobre 2020 – Afin de saisir toutes les opportunités qu’offre la mise en valeur des minéraux critiques et stratégiques (MCS), notamment pour l’électrification des transports et la transition énergétique, l’Association minière du Québec (AMQ) accueille positivement le Plan québécois pour la valorisation des minéraux critiques et stratégiques (PQVMCS) déposé par le gouvernement et prône une mise en œuvre rapide de celui-ci.

Pour l’AMQ, l’industrie minière québécoise constitue un maillon important de la chaîne de valeur des MCS et, comme le gouvernement le mentionne lui-même, elle représente une solution de premier plan pour lutter contre les changements climatiques. Pour y arriver, le Québec peut compter sur des ressources minérales et une main-d’œuvre qualifiée parmi les meilleures au monde lui permettant de se démarquer, en plus de façons de faire éthiques, responsables et respectueuses qui le rendent plus attrayant pour les investisseurs et les consommateurs de MCS.

L’intention du gouvernement d’améliorer l’environnement d’affaires des promoteurs miniers et de faciliter leurs démarches est vue d’un bon œil par l’Association. Cela permettra inévitablement d’intéresser davantage les investisseurs et de maintenir au Québec une activité minière forte. Lorsque l’on sait qu’il faut compter plus de 10 ans entre une découverte minérale et la mise en production d’une mine, c’est maintenant que des actions doivent être posées pour assurer la pérennité du secteur minier québécois et, pour l’AMQ, les MCS sont une avenue intéressante afin de diversifier encore plus le portefeuille minéral du Québec.

L’AMQ salue donc la place que fera le gouvernement à l’acquisition de connaissances et à la recherche et développement. L’exploration du territoire et la mise en commun des efforts des centres de recherche constituent deux éléments majeurs pour cibler et identifier les ressources minérales et pour développer des façons de faire innovantes qui positionneront le Québec comme un leader des MCS.

Pour l’Association, le succès de ce plan passe évidemment par le développement de nouvelles filières minérales et la consolidation de filières plus traditionnelles comme le nickel. C’est pourquoi le gouvernement devra faire preuve d’agilité organisationnelle et dans ses processus pour faciliter le développement de nouveaux projets miniers, afin de répondre à la demande croissante en MCS. Ceux-ci s’ajouteront aux efforts annoncés visant le recyclage des MCS et l’optimisation du potentiel minier de chaque site en opération.

« Les mines québécoises seront au rendez-vous pour participer à cet emballant projet de société. Nous avons démontré au fil des ans que nous avions à cœur de développer les projets miniers de façon responsable et dans le respect des milieux et de l’environnement. Le message qu’envoie le gouvernement positionne le secteur minier comme une réelle solution aux enjeux climatiques et comme une source d’enrichissement à fort potentiel pour le Québec. Les retombées positives des MCS s’ajouteront donc aux bénéfices que le Québec tire déjà des filières traditionnelles permettant de créer encore plus de valeur de la valorisation des ressources minérales. »

« Si les fabricants de batteries ou de véhicules électriques sont sérieux dans leurs intentions de s’approvisionner auprès de sources responsables, le Québec devient un choix évident. Ce plan d’action est un atout supplémentaire, en ce sens qu’il démontre que le gouvernement sera présent pour promouvoir le secteur minier québécois et soutenir ceux qui choisiront le Québec pour investir. Avec la collaboration de toutes les parties intéressées et cette volonté gouvernementale de passer en vitesse supérieure, le Québec se taillera une place de choix dans la mise en valeur des MCS. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.

Québec, le 20 octobre 2020 – Malgré qu’une seule mine soit en activité sur son territoire, le Saguenay–Lac-Saint-Jean tire bien son épingle du jeu en ce qui concerne les retombées économiques de l’activité minière, profitant notamment de sa relative proximité avec les trois plus importantes régions minières. C’est ce qui ressort d’une étude publiée par l’Association minière du Québec (AMQ) qui dresse le portrait global de l’impact du secteur minier sur l’économie québécoise.

Avec près de 2 400 emplois occupés par des résidents de la région (5e rang québécois), 385 fournisseurs (4e rang québécois) et des dépenses effectuées sur son territoire évaluées à 409 millions de dollars (6e rang québécois), le Saguenay–Lac-Saint-Jean a vu tous les indicateurs connaître une croissance.

De façon globale, l’étude démontre que plus de 48 000 emplois directs, indirects et induits sont créés ou soutenus par l’industrie minière au Québec, que près de 10 milliards de dollars sont dépensés sur l’ensemble du territoire et qu’un réseau de plus de 3 800 fournisseurs contribue à la mise en valeur des ressources minérales québécoises. Mentionnons au passage que le salaire annuel moyen de l’industrie frôle les 104 000 dollars, soit largement supérieur au salaire moyen au Québec, évalué à près de 64 000 dollars.

Cette étude permet également de répondre à une question qui revient souvent : combien les gouvernements reçoivent-ils de la mise en valeur des ressources minérales? La réponse : plus d’un milliard de dollars annuellement. Plus précisément, ce sont plus de 1,3 milliard de dollars qui ont été versés au seul gouvernement du Québec en 2018, sans compter l’impôt sur le revenu des sociétés. À cela s’ajoutent 500 millions de dollars pour le gouvernement du Canada.

Bien qu’elles se rapportent aux activités de 2018, ces données sont les plus récentes et les plus représentatives de la contribution de l’industrie minière au développement socioéconomique de la province.

Pour consulter l’étude complète cliquez ici.

« Il est toujours impressionnant de mesurer la valeur de l’industrie minière dans l’économie québécoise. Avec la présence sur son territoire d’un des trois producteurs mondiaux de niobium, la poursuite du développement des projets d’Arianne Phosphate et de Métaux BlackRock, de même que la bonne performance des mines de l’Abitibi-Témiscamingue et de la Côte-Nord, les signes sont encourageants en ce qui concerne les retombées futures de l’industrie minière dans la région. »

« Grâce à la résilience des travailleurs de l’industrie et leur capacité à innover, les sociétés minières ont su reprendre somme toute rapidement un niveau d’activité comparable à celui qui existait avant la pandémie de la COVID-19. Il sera intéressant toutefois, lors de la réalisation de la prochaine étude des retombées économiques qui dressera le portrait de l’année 2020, de constater quelles répercussions cette crise aura eues, notamment sur l’emploi et les dépenses au Saguenay–Lac-Saint-Jean. »

– Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ

À propos de l’Association minière du Québec

Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que des fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 48 006 emplois et des dépenses totales de 9,9 milliards de dollars que l’industrie minière a générés au Québec en 2018, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.